Les citations d'Adolphe Monod.
1 - Qui est Adolphe Monod ?
Biographie courte : Pasteur, professeur et théologien protestant français né le 21 janvier 1802 à Copenhague au Danemark, Adolphe Monod est décédé le 6 avril 1856 à Paris. Dès son enfance et sa première jeunesse, il était cité dans sa famille pour sa vive intelligence, sa facilité de travail, sa gaieté, son imagination, son amabilité et son ardeur à tous les jeux d'adresse et même de hasard. Sa seule ambition était de s'y distinguer. Plus tard, il se livra avec la même ardeur aux jeux de l'esprit, soit en vers, soit en prose, et il y excellait. Une aptitude particulière à écrire sa langue et à la parler se manifesta de bonne heure chez lui, et dès son premier sermon son père devina en lui un prédicateur remarquable. De 1820 à 1824, il étudie la théologie à l'université de Genève. En 1826, Adolphe Monod est pasteur de l'église française de Naples. En 1827, il devient pasteur à Lyon, recruté par un consistoire assez opposé aux idées du Réveil, avec lequel il entre assez vite en conflit. Adolphe Monod est finalement destitué le 19 mars 1832 par ordonnance royale de son poste dans l'église réformée, la raison invoquée étant son refus d'admettre certains paroissiens. En 1847, il devient pasteur de la paroisse de l'Oratoire du Louvre, à Paris, d'abord comme suffragant, puis comme titulaire en 1849. Il connait un très grand succès comme prédicateur. Adolphe Monod meurt le 6 avril 1856 à Paris, il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise. (
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2 - Les 39 pensées et citations d'Adolphe Monod :
Nul autre ne discerne plus sûrement le naturel de son fils, le fort et le faible de son caractère, la part qu'il convient de faire à son tempérament, la mesure de sévérité et d'indulgence en rapport avec son humeur, les précautions à prendre pour le faire valoir sans le gâter, que sa mère.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) Les femmes ne sont ni égales ni inégales à l'homme, elles sont autres.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) La maternité est un ministère, et la première condition d'un ministère fidèle est le désintéressement. Ne dites pas : Voici mon fils à moi, né par moi et pour moi ; mais dites : Voici un homme enfanté dans le monde, pour le bien du monde. Que deviendra ce petit enfant ? demandent la terre, le ciel, l'enfer, courbés et comme suspendus, dans une attente immense, sur le berceau de cette frêle créature dont la vie vient de se dégager de la vie de sa mère. La réponse dépend avant tout de l'éducation, et l'éducation dépend avant tout de la mère.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) Le premier secours qu'une mère doit avant tout à son petit enfant, c'est l'éducation, cet enfantement de l'esprit, qui suit de droit celui du corps, et que nul ne saurait lui disputer.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) La vraie humilité seconde la vraie charité ; et les fleurs qui cachent sous l'herbe leurs tendres couleurs ne sont pas celles qui répandent autour d'elles le parfum le moins doux.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) La force et la magnificence est le vêtement de la femme vertueuse, elle se rit du jour à venir.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) Un bon cœur étend son bras vers le misérable, et ouvre sa main au pauvre.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) Une mère ouvre sa bouche avec sagesse, et la loi de l'amour est sur sa langue.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) Une mère veille sur le train de vie de sa maison, et ne mange pas le pain de la paresse.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) La femme vertueuse, son prix surpasse de beaucoup les perles.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) Que d'hommes, au dernier jour, quand tous les voiles seront levés, diront devant leur juge, dans le sens le plus profond du mot : Il m'est bon de n'avoir pas été seul sur terre !
Adolphe Monod - La vie de la femme (1948) L'amour n'inspire pas seulement à la femme le désir du dévouement, il lui en donne encore le courage. Le cœur de la femme est le plus riche trésor de la terre.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) L'amour maternel, qui épuise la vie sans s'épuiser lui-même, et après avoir tout souffert, travaillé le jour, veillé la nuit, il se paie d'une caresse ou d'un sourire.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) Le moment décisif en éducation est le point de départ. C'est dans les premières années que se cache cette direction dominante qui détermine le cours entier de la vie d'un enfant. Et les premières années appartiennent à la mère.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) La femme est une fleur qui ne donne son parfum qu'à l'ombre.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) La femme est, depuis la création, une compagne donnée à l'homme pour travailler à son bien, et surtout à son bien spirituel, dans une attitude modeste et soumise.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) La femme est si étroitement unie à l'homme qu'il ne peut la rabaisser sans se rabaisser lui-même.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) La femme n'est pas seulement un aide pour l'homme, mais un aide semblable à lui. Elle est son égale, et ce n'est qu'à cette condition qu'elle peut lui apporter le secours dont il a besoin.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) Il n'est pas bon que l'homme soit seul, il lui faut un aide semblable à lui.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) La femme est une compagne que Dieu a donnée à l'homme pour charmer son existence, et pour la doubler en la partageant.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) L'amour n'est qu'un épisode dans la vie de l'homme, c'est tout son être pour la femme.
Adolphe Monod - La mission de la femme (1948) Si la douceur d'être aimée t'a été ravie, ne te laisse pas dépouiller du privilège d'aimer.
Adolphe Monod - La femme, Second discours (1948) Plus superficielle que l'homme dans tout le reste, la femme est plus profonde dans l'amour.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1852) Un cœur ne se trouve qu'en se donnant : être aimé, c'est sa joie ; aimer, c'est sa vie.
Adolphe Monod - La femme, Donne-moi ton cœur (1948) Le cœur est le siège du sentiment, de la conscience et de l'amour.
Adolphe Monod - La femme, Donne-moi ton cœur (1948) Les grandes âmes s'élèvent au-dessus du vulgaire par une conscience plus délicate.
Adolphe Monod - Les grandes âmes (1842) La libéralité ne se proportionne pas toujours à la fortune.
Adolphe Monod - Le geôlier de Philippes (1840) Les hommes les plus gaies ne sont pas les plus réfléchis.
Adolphe Monod - Le geôlier de Philippes (1840) Pour s'aimer du plus profond amour, il faut se donner sans réserve.
Adolphe Monod - La femme, Donne-moi ton cœur (1948) Du vouloir au faire la distance est grande.
Adolphe Monod - La femme, Saint Paul (1951) Le secours qu'une mère doit avant tout à son petit enfant, c'est l'éducation, cet enfantement de l'esprit, qui suit de droit celui du corps, et que nul ne saurait lui disputer.
Adolphe Monod - La vie de la femme (1852) S'il n'y a de paix que dans l'ordre, il n'y a de vie que dans la liberté.
Adolphe Monod - La femme, Le plan de Dieu (1948) Le désespoir de réussir fait les hommes faibles et timides dont la société est remplie.
Adolphe Monod - La femme, Le plan de Dieu (1948) La confiance en soi est une foi imperturbable au succès qui fait les hommes puissants.
Adolphe Monod - La femme, Le plan de Dieu (1948) La confiance est la condition de la force.
Adolphe Monod - La femme, Le plan de Dieu (1948) Le travail d'un écrivain ne se mesure pas au nombre de pages qu'il a écrites.
Adolphe Monod - La femme, Saint Paul (1951) Tombe plus bas qui tombe de plus haut.
Adolphe Monod - La femme, Premier discours (1948) Il y a dans le cœur de la femme une puissance d'aimer que l'homme ne saurait atteindre.
Adolphe Monod - La femme, Second discours (1948) Le cœur de la femme est le plus riche trésor de la terre.
Adolphe Monod - La femme, Premier discours (1948)
3 - La liste des auteurs populaires :