Je me suis brûlé comme un papillon à la flamme de tes beaux yeux.
Aujourd'hui, j'ose tout, je dirai tout ; je ne puis garder plus longtemps mon secret, il m'étoufferait. Je t’ai aimée du premier instant que je t’ai vue. Tu m'est apparue comme une vision ; je fus ébloui, je crus rêver ; pourtant mon cœur avait pressenti cette rencontre, depuis longtemps il te cherchait. Tout ce qu'il avait aimé, admiré dans ce monde : la lumière, la beauté du ciel, les fleurs, autant de messagers qui t'annonçaient ! Tu étais son espérance, son attente secrète, car en te voyant, je dis : La voilà donc, c'est elle !
Viens, je vais t'apprendre à sentir le prix de l'amour véritable dont tu n'as connu que l'ombre. Dans la retraite et le silence, nous nous rendrons nécessaires l'un à l'autre, la vie intime nous dira tous ses secrets, nous amasserons heure par heure un trésor de souvenirs qui ne seront qu'à nous, et nos deux âmes se lieront d'une si étroite habitude que rien ne les pourra désunir.
Je t'aime mon adoré, je ne suis pas une minute sans penser à toi – et que quand je t'attends, je ne peux pas m'occuper à autre chose qu'à t'écrire tout ce qui me passe par le cœur. Je t'aime, je suis folle de toi. Viens vite mon ange.
Oui, tu es mon appui, tu es ma terre ferme, tu es mon espoir, ma joie, mon bonheur, tu es mon tout. Je t'aime mon bien-aimé, et quand je ne te l'écris pas, je le pense, et quand je te l'écris, je le sens de toutes mes forces. Je t'aime mon adoré.
Mon adoré, mon amour, si tu pouvais voir dans mon âme comme dans la tienne – si tu connaissais l’emploi de mon temps minute par minute comme tu connais le tien, tu saurais que toutes mes affections, toutes mes pensées sont à toi et pour toi – Car je t'aime, vois-tu, de toutes les forces de mon âme et de tout le temps que Dieu nous donne chaque jour.
Hier à pareille heure, j'étais bien heureuse, mon adoré, et je n'avais pas besoin de t'écrire pour te dire combien je t'aime. Aujourd'hui, je t'aime autant, sinon plus, et je suis triste parce qu'au lieu de te posséder... je te désire ! Au lieu de te baiser... je t'écris. Ton absence, c'est un gros nuage de pluie sur mon soleil. Je donnerais 10 ans de ma vie pour la journée d'avant-hier. Je donnerais toute ma vie pour un jour tout entier avec toi. Je ne peux rien dire autre chose que : Je t'aime.
Je t'aime d'un amour éternel et infini ! Aime-moi autant que je t'aime, ange, et nous aurons le bonheur le plus parfait que puisse contenir la vie. Il me tarde de te voir, de lire dans tes yeux tout l'amour que tu me portes. Tu es, mon adorée, le seul être sur lequel puisse jamais reposer tout ce qui désire, tout ce qui aime, tout ce qui espère en moi, c'est-à-dire mon âme tout entière.
Quand ta lèvre pure approche la mienne, quand ta douce main se pose sur mon front, mon ange, je ne donnerais ces moments-là pour toutes les félicités de la terre et du ciel. Ces instants de bonheur enivrants, je me demande alors ce que j'ai fait pour les mériter ! Je vais te voir dans peu d'instants ; dans peu d'instants je saurai si ta nuit a été paisible, si tu as pensé à moi en t'endormant et en t'éveillant, si tu as un peu désiré pendant cette longue matinée de voir arriver l'heure qui doit me ramener près de toi. Adieu, ange, mon ange adoré. Je t'embrasse tendrement.
Le baiser que tu m'as donné en partant à travers ton voile ressemble à l'amour à travers l'absence. C'est doux et triste et enivrant pourtant. Il y a un obstacle, mais on se sent, on se touche, on s'unit. Tu n'es pas à mon côté en ce moment, et cependant je t'ai, je te vois là, tes yeux charmants se fixent sur mes yeux, je te parle, et je te dis : M'aimes-tu ? Et j'entends ta voix émue me répondre tout bas : Oui. C'est une illusion, et c'est une réalité. Tu es bien là, oui, mon cœur te fait présente. Mon amour fait roder partout autour de moi ton fantôme adoré et souriant. Et puis, néanmoins, tout me manque ; je ne suis pas longtemps dupe de moi-même, je n'ai qu'à demander un baiser de ce fantôme pour qu'il s'évanouisse, je ne puis le coucher près de moi qu'en rêve. Tiens, vois-tu, c'est charmant de songer à toi, mais j'aime encore mieux te tenir, te parler, te prendre sur mes genoux, t'entourer de mes bras, te couvrir et te brûler de mes caresses. Te voir pâlir et rougir sous mes baisers, te sentir frissonner dans mes embrassements, c'est la vie, la vie pleine, entière, vraie, c'est le rayon de soleil, c'est le rayon du paradis ! Je t'aime.
Mon amour, quand tu vivras sans cesse avec moi, il me semble qu'il me faudra un courage surnaturel pour ne point passer toute ma journée dans tes bras ; il me semble que je ne pourrai m'empêcher d'employer tous mes instants à te couvrir de baisers et d'embrassements. Le désir de te voir heureuse, bien heureuse, est tout-puissant sur moi. Mon ange, oh ! que je voudrais te voir en ce moment, te presser dans mes bras, m'assurer qu'elle est bien là, près de moi, qu'elle est bien vivante, cette adorable femme, toi, sans qui je ne puis vivre ! Adieu, je t'embrasse et je t'adore, je t'aime.
Mon plus grand désir, ma bien-aimée, serait que tu puisses connaître mon âme comme tu connais la tienne. Tu saurais qu'il n'est pas, je ne dis pas une seule des émotions de mon cœur, mais un seul des mouvements de tout mon être qui ne soit dirigé vers toi. Même absente, je te cherche de l'âme et du regard ! Dans peu de temps je te verrai, mais que ce peu de temps me semble long ! Adieu, ange, adieu, mon Adèle adorée.
Ma douce et belle, ma chérie, mon amour, ma vie, si Dieu le veut, je passerai mon existence auprès de toi et pour toi. Je t'aime avec tant de force et de tendresse que je ne passe pas une minute sans penser à toi. Je t'aime de toute mon âme, je t'adore de tout mon cœur.
Plus tu es loin de moi, et plus mon coeur a besoin de t'aimer, et de jouir de ta tendresse. Reviens-moi, tu me manques tant, je veux vivre au plus tôt ces instants qui te ramèneront dans mes bras.
À nul autre au monde je ne donnerai mon cœur. C'est décidé dans les conseils d'en haut ; c'est la volonté du ciel : Je suis à toi. Toute ma vie est une preuve certaine que je devais te rencontrer. Je le sais, c'est Dieu qui t'a envoyé à moi ; c'est toi qui seras mon gardien jusqu'au tombeau ; c'est toi qui m'apparaissais dans mes rêves ; inconnu, tu m'étais déjà cher ; ton regard me suivait ; ta voix résonnait dès longtemps dans mon âme. Non, ce n'était pas un rêve. À peine entré, je t'ai reconnu. Je me sentis frémir, je me sentis consumer. N'est-ce pas, je t'avais déjà entendu ? C'est toi qui me parlais dans le silence. Qui es-tu ? Mon ange gardien ? Résous mes doutes. Peut-être que tout ceci n'est qu'une vaine illusion, l'erreur d’une âme qui ne se connaît plus. Peut-être qu'une tout autre destinée m'attend ; mais c'en est fait. Dès à présent je te remets ma vie. Je t'attends.
Oh ! que les dimanches sont tristes, ceux que l'on passe loin de son amour ! J'ai pourtant pensé à toi si fort que j'aurais dû t'évoquer, et si tu ne m'es pas apparue, c'est que la magie n'est plus qu'un vain mot. Dis, ne me prive plus de toi ce jour-là ! Je t'aime, et je baise tes mains chères avec tendresse.
Tes yeux et tes cheveux, tes épaules et ton sourire sont d'inépuisables coffrets d'amour. J’aime infiniment chacune de tes grâces visibles et chacune de tes grâces spirituelles.
Hier, d'avoir touché ta main ma main a longtemps conservé ton odeur. Ton odeur est dans mon cœur ! D'avoir touché ta main, la mienne est parfumée, et d'avoir frôlé ton cœur, mon cœur est tout troublé. Mon cœur est toujours troublé aujourd'hui, parce que je t'aime.
Si je connaissais des dieux comme j'aimerais à les remercier de t'avoir envoyé vers moi. Car tu m'es un présent tombé du ciel, au moment de ma vie où j'ai été au plus mal, où je ne tenais plus à rien, où je n'espérais plus rien, où je ne voulais plus rien. Où serait le bonheur sans toi ? Je t'aime.
Mon adorée, pour nous, vieillir, c'est rajeunir ; nos cœurs se renouvellent et recommencent. Sous nos cheveux blancs, nous avons un amour Printemps. Je t'aime ! Tu es l'ange, tu es la femme, tu es la vie, tu es l'âme dont j'ai toujours rêvé. Mon cœur est à toi, mon cœur est avec toi. Je t'embrasse et je te baise, je te veux et je te possède, tu es l'avenir de mon espérance. Tu es plus que mon bonheur, tu es ma vie, je t'aime.
Mon doux rayon de soleil, chaque jour j'ai besoin de te voir, de te presser sur mon cœur, de sentir tes mains sur mon corps, de mourir sur tes lèvres. Ange, mon ange adoré, ma vie est entre tes mains, j'ai besoin de l'air que tu respires, loin de toi j'étouffe et ne saurais vivre ! Ma douce et belle, nous sommes unis pour l'éternité, toi et moi, la mort seule peut nous séparer. Toutes mes pensées sont pleines de toi, je t'aime avec fureur.
Mon amour, j'ai besoin de l'air que tu respires comme de la seule atmosphère où je puisse vivre. Sache que je n'ai de bonheur que dans l'espoir du tien, et que je n'ai de plaisir que sûr de ton plaisir. Tu es seule le but de mon existence, l'entière occupation de ma pensée. Vivre avec toi, longtemps, toujours, te consacrer tout ce que je suis, tout ce que je vaux, est mon unique projet pour les années à venir. Mon ange, ma douce et belle, tout ce que j'apprécie dans la vie est en toi, et chaque goutte de mon sang ne coule que pour toi seule. Je t'aime.
Auprès de toi ma vie prend sens. Je t'ai dans la peau, je t'ai dans l'âme. Sans toi je ne suis rien. Tu es ma drogue, mon espérance, tu es mon idéal. Je t'aime.
J'ai envie de te tenir, te parler, t'entourer de mes bras, te couvrir et te brûler de mes caresses. Te voir pâlir et rougir sous mes baisers, te sentir frissonner dans mes embrasements, c'est la vie, la vie pleine, entière, vraie, c'est le rayon de soleil, c'est le rayon du paradis ! Ô mon ange, que tu es belle, viens que ma bouche pose et cueille sur la tienne ce mot qui est le plus doux des baisers : Je t'aime !
Ange aimé, quelle douce soirée que celle d'hier ! Que de richesse dans ton cher cœur ! Ton amour est donc inépuisable, tout comme le mien ! Chaque mot m'a apporté de nouvelles joies, et chacun de tes regards en étendait la profondeur. L'expression calme de ta physionomie donnait un horizon sans bornes à nos pensées ! Oui, tout était alors infini comme le ciel, et doux comme son azur. La délicatesse de tes traits adorés se reproduisait, je ne sais par quelle magie, dans tes jolis mouvements. Je savais que tu étais tout amour, mais j'ignorais encore combien tu étais si gracieuse. Tes mots vibrent toujours dans mon oreille, ils s'y roulent et s'y jouent encore. Ange du ciel, je t'envoie un doux baiser.