Les citations célèbres d'Auguste Guyard.

1 — Notre citation favorite d'Auguste Guyard :

Photo de Auguste Guyard Les mots sympathie, affection, amitié, amour n'expriment que les degrés, les nuances diverses d'un même sentiment qui est inexprimable parce qu'il est infini. Aimons donc sans nous inquiéter de donner à nos sentiments un nom qui les mesure ; aimons toujours : tout le temps que nous passons dans l'indifférence ou la haine est un temps perdu pour notre amélioration et pour notre bonheur. (Extrait de son œuvre Quintessences publiée en 1847.)
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2 — Les pensées et citations célèbres d'Auguste Guyard :

Les métaux les plus oxidables, le fer, le cuivre, par exemple, sont aussi les plus répandus et les plus utiles : ils sont l'image des classes laborieuses. L'or, l'argent, le platine qui ne s'oxident point et ne se mêlent à rien sont rares et d'une utilité restreinte : c'est l'image des riches avares et des conservateurs inintelligents.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Si la fortune fuit et méprise tant les gens d'esprit, qui le lui rendent bien, n'est-ce point par jalousie de les savoir plus riches qu'elle ?

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Généralement, il est plus honorable pour un riche de devenir pauvre que pour un pauvre de devenir riche, car on se ruine surtout par ses bonnes qualités, et l'on s'enrichit par ses mauvaises. Il est aussi difficile à une nature généreuse et rayonnante de demeurer ou de devenir riche qu'à une nature égoïste et absorbante de rester ou de devenir pauvre.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

On peut arriver à son but par les deux contraires. Souvent, l'extrême audace est l'extrême prudence : l'homme prudent passe tard et sans être aperçu ; l'homme audacieux passe vite et sans qu'on ose l'apercevoir : cela revient au même.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Malgré le proverbe : rien de trop, pour avoir suffisamment de certaines choses, il faut en avoir plus qu'assez. La vertu qui ne fait que remplir un cœur est une vertu stérile pour la société. Semblables à certains fleuves, la bienveillance ne devient bienfaisance ; la charité, l'amitié, ne sont vraiment utiles que lorsqu'elles débordent. On n'est donc assez bienveillant, assez bon ami, assez vertueux que lorsqu'on l'est trop.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Promettons peu afin de pouvoir tenir beaucoup.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Si chacun s'occupait des autres, personne n'aurait à s'occuper de soi.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Il faut avoir une grande âme pour voir, sans envie, l'élévation et la prospérité de ceux qu'on a connus dans le malheur. Tel, aujourd'hui, vous donnerait la moitié de sa fortune pour vous aider à sortir d'embarras, qui serait le premier à désirer votre ruine si, demain, la fortune vous plaçait dans une condition meilleure que la sienne.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Laissons-nous désirer si nous ne voulons pas être importuns. Hélas, les malheureux en ce monde ne sont jamais désirés ! et les amis qui ont besoin d'argent non plus.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Aucune époque n'aurait été plus morale que la nôtre si les gens habiles pouvaient s'appeler des honnêtes gens.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Il faut des larmes extérieures aux passions délirantes. Le cœur éclate sous la pression du réservoir intérieur quand les yeux ne lui donnent point une issue. L'âme a, comme le corps, des congestions terribles qui ne peuvent être conjurées que par des saignées. Les larmes sont les saignées du cœur.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Cœur sensible, cœur bon ; la sensibilité est le thermomètre de la bonté. Pour graduer cet instrument, l'appliquer d'abord au cœur d'un philanthrope, d'un vieillard ou d'un banquier ; on obtient ainsi le zéro ou la glace du thermomètre. Si vous le mettez ensuite sur le cœur d'un jeune homme, d'un artiste, et surtout d'une femme, n'importe de quel âge, vous aurez la bonté bouillante.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

La modestie, quand elle est vraie, est la pudeur de l'esprit ; mais le plus souvent elle n'est qu'un voile dont nous couvrons notre amour-propre et notre vanité. Aussi gardons-nous bien, si nous voulons conserver nos amis, de les prendre au mot lorsqu'ils parlent d'eux-mêmes avec modestie.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

L'honneur a toujours eu, parmi les hommes, beaucoup plus de vogue que la vertu, car il est d'une pratique plus facile. Mais faites que la vertu flatte habituellement l'amour-propre, et que l'honneur, souvent, l'humilie, et vous verrez bientôt le contraire.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Mères imprudentes ! cessez de confier à l'orgueil la garde de la chasteté de vos filles. Un vice sentinelle incorruptible d'une vertu ! y pensez-vous ? La philosophie ou la religion seules peuvent remettre pure une jeune fille aux bras d'un époux aimé.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

La plupart des dévots croient que la dévotion est la route la plus sûre qui mène au salut ; ils se trompent grossièrement : la dévotion n'est qu'une vertu. On peut être fort dévot et fort méchant tout ensemble ; les dévots, pour la plupart, croient trop souvent pouvoir remplacer les vertus par des orémus.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Bâiller en dehors est dangereux, on peut se démettre la mâchoire. Il faut donc apprendre à bâiller en dedans, mais comment faire ? Hommes d'esprit, allez un hiver dans le monde !

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Généralement, nous estimons beaucoup moins, chez les autres, les vertus qui nous sont inutiles que les vices dont nous pouvons tirer profit. Bien des gens n'ont pas certains défauts et certains vices, parce qu'ils souffrent plus des désagréments qu'ils en éprouvent, qu'ils ne jouissent des avantages qu'ils en retirent.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

La sagesse et la vertu séparées l'une de l'autre sont deux folies contraires ; l'une, excentrique ; l'autre, concentrique ; mais réunies dans des proportions convenables, — plus de vertu, moins de sagesse, — peut-être constitueraient-elles, pour l'homme, la perfection morale et le bonheur dont il est susceptible ici-bas.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

On dit ordinairement un jeune saint et un vieux pécheur, rarement un jeune pécheur et un vieux saint. Les saints sont pour la plupart de jeunes fous, de jeunes fanatiques de la vertu ; les pécheurs, de vieux fous, de vieux fanatiques de la sagesse. Un jour, dans la vallée du Jugement, les jeunes fous, placés à la droite du Christ, l'accompagneront dans sa gloire, à la grande mystification des vieux sages qui s'en iront, en grommelant, dans la fournaise, pour y fondre la glace de leur sagesse.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Comment distinguer sûrement les fous des sages ? On est sage tant que l'on court après la sagesse, et on est fou dès que l'on croit l'avoir attrapée.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Un marchand de sagesse n'en vendrait pas, en trois mois, de quoi payer son terme ; et serait au bout de six, obligé de fermer boutique. Le marchand d'une folie nouvelle deviendrait millionnaire en quinze jours !

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

En général les hommes spéciaux sont les plus mauvais juges des œuvres de leur spécialité. Un public non spécial, mais éclairé, appréciera certainement mieux un livre, un tableau, au point de vue du but, qu'un littérateur, un peintre, etc. L'homme spécial est ordinairement borné, instinctivement jaloux et partial. Sa critique n'a souvent d'autre critérium que des règles arbitraires ou conventionnelles ; et il croirait faire preuve d'un moindre talent à trouver les qualités d'un ouvrage plutôt que ses défauts.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

L'orgueil des savants a rendu la science longue et difficile. Omar serait le plus grand des professeurs si, avant de réduire en cendres la bibliothèque d'Alexandrie, il l'eût fait résumer en quelques petits volumes. Toute cette pauvre science humaine, dont nous sommes si fiers, serait assurément fort à l'aise dans le plus mince des in-32, et s'apprendrait facilement dans vingt-quatre heures. Et nous mettons dix ans à faire un bachelier !

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Les corps savants, en leur qualité de conservateurs inintelligents de la science, sont, par toute la terre, opposés au progrès. Les académiciens sont les douaniers de la science ; leur consigne semble être de faire feu sur toute idée nouvelle qui tenterait de franchir, par contrebande, le seuil des académies.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Affecter un air de supériorité dédaigneuse, c'est se montrer inférieur à ceux que l'on croit surpasser : on n'affecte que ce qu'on n'a pas.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Personne ne passe aujourd'hui pour ce qu'il est réellement, mais pour ce qu'il paraît être. On n'est point savant parce qu'on est académicien, mais parce qu'on en porte l'habit. Aussi, le dix-neuvième siècle pourra-t-il s'appeler, à juste titre, le siècle des charlatans.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Vus de près, ô vous ! qu'on appelle grands, vous n'êtes souvent, pour la plupart, que des petits hommes élevés sur un fragile piédestal. Si donc on vous appelle grands, ne serait-ce point par épigramme, ou bien pour vous apprendre ce que vous devriez être ?

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Les hommes rangés sont des prosaïques bourgeois qui ne se sentent point assez de qualités ou de vertus pour se faire pardonner leurs défauts ou leurs vices.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Les hommes se jugent à leurs chutes. Toute chute qui ne donne point à l'homme tombé un ressort pour remonter, ou pour s'élever plus haut, ne fait que le remettre à sa place.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Pour comprendre le présent, le réel, le possible, il faut les dépasser par l'inspiration. Les poètes sont, en toute chose, les seuls hommes véritablement positifs et pratiques. La plupart des prétendus hommes d'état embrassent à peine l'horizon du présent. Ce sont des autruches qui ne voient jamais au-delà du trou dans lequel, au moment du danger, ils courent aussi cacher leurs têtes.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

La poésie, en général, est une aspiration de l'âme humaine vers le beau idéal, le bon idéal, en un mot, vers le mieux et la perfection en toute chose. Mais qu'est-ce que le beau, le bon idéal, le parfait, sinon Dieu lui-même ? La poésie est donc une aspiration vers Dieu ; c'est, si l'on peut s'exprimer ainsi, une succession d'essais audacieux ne tendant a rien moins qu'à réaliser, à créer Dieu progressivement. Le poète, l'artiste sont donc, à leur su ou à leur insu, les plus pratiquement religieux des hommes, puisqu'ils cherchent constamment à idéaliser le réel et à réaliser l'idéal.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Les véritables utopistes sont ceux qui combattent, de bonne foi, les utopies ; ignorant que l'impraticable a seul été pratiqué, jusqu'ici, parmi les hommes. Que nous montre, en effet, l'histoire ? Une série d'impossibilités successives, se disputant et s'arrachant, par la violence ou par la ruse, le gouvernement et l'exploitation des pauvres humains. Oui, l'impossible est seul possible ici-bas. Ceux qui dominent par la grâce d'une vieille utopie le savent bien. Aussi, est-ce beaucoup moins aux utopies nouvelles elles-mêmes qu'ils font la guerre qu'aux utopistes nouveaux dont la devise sera nécessairement toujours : ôte-toi de là que je m'y mette. Si l'utopie pouvait se présenter sans l'utopiste, elle serait ordinairement la bienvenue, car nous aimons tous naturellement la nouveauté et le changement, lorsqu'ils n'ont point pour but de nous déplacer et de nous changer nous-mêmes.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

L'impossible est une idée qui a pris sa source dans l'ignorance et la sottise humaines. Une seule chose est impossible à l'homme : c'est d'imaginer un roman, une utopie, un rêve, un idéal, une chimère, une contradiction même qui ne puissent se réaliser, un jour, pour son globe, et qui ne soient actuellement réalisés dans quelque partie de l'Univers. Le roman n'est que l'histoire anticipée de l'avenir.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Oui, malheureusement, la circulation des idées comme celle des monnaies est en raison inverse de leur valeur. Un livre médiocre, ou sans idée, est généralement lu, goûté et enrichit ordinairement son auteur : car il est à la portée du plus grand nombre. Un bon livre va chez l'épicier, et son auteur meurt souvent à l'hôpital.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Les systèmes sont des billets de banque ; les idées particulières ne sont que de la monnaie. Ces dernières, comme les gros sous, ont seules cours parmi la foule qui ne systématise pas plus qu'elle ne thésaurise.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Les systèmes étant des vues d'ensemble, des idées générales déduites d'observations particulières, des synthèses, en un mot, il faut avoir l'esprit vaste pour créer un système. Les esprits bornés ne systématisent pas. Un système, fut-il faux en tout point, mériterait encore nos respects parce qu'il est l'œuvre du génie.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Tant qu'il y aura des lois écrites, il y aura des interprétations différentes, contradictoires, de ces lois, et par conséquent des révolutions. L'unité et le bonheur ne régneront sur la terre que le jour où chaque homme étant devenu loi vivante, on pourra brûler tous les codes.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Mieux vaut, en toute chose, une modeste originalité qui rayonne, individualise et distingue, qu'une brillante copie qui réfléchit, dualise et confond. La simple rose odorante des champs sera toujours préférée aux chefs-d'œuvre d'imitation, qui ne sentent rien, des Redouté et des Bâton.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Un auteur doit consulter beaucoup de monde et n'écouter que soi. Le meilleur juge des défauts d'un ouvrage est certainement celui qui l'a fait. En toute chose, d'ailleurs, on se trompe plus souvent en suivant les conseils des autres que ceux de sa propre raison. Sans doute, c'est par la lumière réfléchie qu'on arrive à la lumière propre ; sans doute, il faut être planète avant d'être soleil. Mais en attendant que tu deviennes toi-même foyer lumineux et rayonnant, réfléchis d'une manière qui te soit particulière et personnelle les idées d'autrui ; garde-toi de t'absorber et de t'annihiler jamais dans la reflection absolue ; sinon tu ne serais jamais que le daguerréotype de ces jugements tout faits qu'on appelle préjugés.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Les langues qu'on sait le mieux sont celles qui ne s'apprennent point dans les grammaires. Un paysan ne fera jamais un solécisme de patois.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Ô vous qui voulez écrire, gardez-vous des rhéteurs ! Ces messieurs vous montreraient toutes les figures excepté celle de la nature.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

L'égoïste exclusif, le droit, pour lui qui ne reconnaît aucun devoir, consiste à n'admettre d'autre limite à ses besoins, à ses désirs, à ses passions que l'impossibilité de les satisfaire. Tout être dont l'activité le gène est un ennemi qu'il faut détruire ; tout individu, au contraire, dont il peut tirer parti, est une force qu'il faut subjuguer.

Auguste Guyard - Des droits et des devoirs (1848)

L'égoïste exclusif, son objet c'est d'être heureux isolément en écartant de lui tout ce qui peut opposer le moindre obstacle à son bonheur.

Auguste Guyard - Des droits et des devoirs (1848)

On peut être beau de laideur et laid de beauté ; spirituel de bêtise et bête d'esprit ; fou de sagesse et sage de folie : les extrêmes se touchent et se valent.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

Si les maladies des peuples, comme celle des individus, pouvaient se reconnaître à l'inspection de la langue, le peuple français serait bien malade ; car, sa langue, surchargée de grec et de latin, a perdu tout à fait sa couleur naturelle.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

La parole est à la pensée ce que les corps sont à la lumière, et réciproquement. En effet, les corps réfléchissent la lumière, la formulent, l'expriment, l'éclairent, pour ainsi dire, la corporifient et la rendent visible ; comme la parole réverbère, image, exprime, matérialise et montre la pensée. Ainsi la parole est le corps de la pensée, et les corps sont la parole de la lumière. À son tour, la lumière éclaire les corps, les met en relief et les distingue, comme la pensée illumine d'un sens chaque mol et débrouille le chaos de la parole. Ainsi, encore, la lumière est l'intelligence des corps ; et l'intelligence est la lumière de la parole. Pensée, parole, lumière et corps, choses corrélatives qui se prouvent réciproquement et qui, l'une sans l'autre, n'auraient pas de raison d'être.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

La destinée humaine consiste dans la plénitude de l'être, résultant de l'universalisation de l'individu.

Auguste Guyard - Des droits et des devoirs (1848)

Les ruisseaux babillent beaucoup parce qu'ils manquent de profondeur ; les grands fleuves sont silencieux.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)

L'homme préfère la toute-connaissance à une connaissance restreinte, un amour sans borne à un amour borné, la toute-puissance à une puissance qui a des limites, la liberté absolue à une liberté relative, en un mot la souveraine félicité à une félicité incomplète, c'est qu'il est fait pour tout cela.

Auguste Guyard - Des droits et des devoirs (1848)

L'instinct, cette raison divine, infaillible chez les animaux privés de liberté, est bien moins sûr chez l'homme, à cause d'une infiltration insensible de la raison et de la liberté. Chez la femme, cet odorat intérieur, cette ouïe mystérieuse, cette vue occulte, ce goût moral, ce tact intellectuel, cette raison latente, cette voix de Dieu qui lui parle à l'oreille qu'on appelle instinct et sentiment ont une supériorité incontestable qui fait de la femme la sagesse de l'homme.

Auguste Guyard - Quintessences (1847)
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