Dieu sait si on nous bassine avec les « parents d'élèves ». C'est ceux-ci qu'il faudrait réformer. Leur expliquer, par exemple, qu'il conviendrait d'être un peu plus ferme sur le chapitre de l'éducation des enfants, et un peu moins sur celui de leurs études. En 1985, les enfants font tout ce qu'ils veulent, sauf la chose essentielle : choisir leur destin. Peut-être, s'ils le pouvaient, y aurait-il moins de chômeurs !