Les citations célèbres d'Émile de Girardin.

1 - Notre citation favorite d'Émile de Girardin :

Photo / portrait d'Émile de Girardin La solidarité est le seul principe qui puisse resserrer les liens détendus de la famille, sauver la société. L'individualisme est le mal qui nous dévore. L'individualisme est l'erreur sociale que nous expions ; c'est un levain de révolution, c'est un crime de lèse-civilisation. La famille n'est, le plus communément, qu'un vaste manteau flottant sous lequel on trouve abrités seulement le père et le fils, la mère et la fille. Il faut, il est nécessaire, il est urgent que tous les membres d'une même famille soient intéressés à s'entraider les uns les autres, à exercer sur eux-mêmes un contrôle mutuel et une surveillance commune. La solidarité, c'est la responsabilité indirecte et commune. La liberté, c'est la responsabilité directe et individuelle, a écrit Émile de Girardin. (Extrait : Les pensées et maximes, publiées en 1867.)
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2 - Les pensées et citations célèbres d'Émile de Girardin :

Le monde, dans ses combinaisons, est moins varié qu'il ne le paraît : les mêmes fruits sont portés chaque année par les mêmes arbres ; les mêmes conséquences sont ramenées par les mêmes causes ; les mêmes expiations rappellent les mêmes fautes.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La modestie est comme l'ombre qui fait valoir la lumière, c'est la chasteté du mérite, c'est la virginité des belles âmes.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Le crédit est le champ de bataille de toutes les victoires pacifiques. Il marche de pair avec l'honneur.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

On ne brise pas impunément tous les ressorts du travail, tous les anneaux du crédit : car, parvenue à un certain degré, la misère est un torrent qui renverse et emporte toutes les digues.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La misère publique est la cuve où toutes les passions fermentent !

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La misère méritée est la sanction pénale de la paresse et de l'inconduite.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Le salaire des ministres peut être faible ou nul, sans inconvénient, parce que les fonctions ministérielles ne doivent pas être une carrière, mais un acte de dévouement à ses idées, à ses convictions, à son pays.

Émile de Girardin - Les questions de mon temps (1836-1846)

Partagez le commandement d'une armée entre neuf généraux de division, imposez-leur l'obligation de ne livrer de batailles qu'après en avoir soumis le plan à la majorité des voix, et vous me direz combien de victoires vous aurez... perdues !

Émile de Girardin - Les questions de mon temps (1836-1846)

Tout ministère qui ne se résume pas dans un homme, dans une volonté, tout ministère qui sera composé de neuf membres, tout ministère qui aura besoin de délibérer sur tout sera faible : car il ne pourra prendre de grand parti sur rien; il manquera de spontanéité, d'initiative, de décision ; il emploiera à vaincre la difficulté de se réunir et de se mettre d'accord le temps qu'il devrait réserver à l'étude des questions, à la maturité des solutions, à la vérification des idées.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Un ministère ne tombe jamais que sous le poids de ses fautes. Loin de l'ébranler, les attaques injustes, les accusations exagérées ne servent qu'à l'affermir. Elles exercent sur lui l'action du marteau qui enfonce le clou sur lequel il frappe. Elles le fortifient par la lutte ; elles le grandissent par le triomphe.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Vouloir faire marcher en avant un ministère sans idées, autant vaudrait entreprendre de faire remorquer un convoi par une locomotive sans combustible !

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La justice limitée, c'est l'impuissance ; la vérité limitée, c'est l'erreur.

Émile de Girardin - Questions politiques (1858)

L'art de gouverner, c'est l'art de choisir ses hommes.

Émile de Girardin - Études politiques (1838)

La paix, comme la guerre, a ses champs de bataille ; il ne suffit pas qu'un peuple soit brave devant la mort, il faut encore qu'il soit brave devant la liberté, et que, pour un petit péril et un petit mal, il ne renonce pas à une grande victoire et à un grand bien. Lorsqu'un peuple est brave devant la liberté, la confiance qu'il puise en lui-même lui fait traverser sans émotion les crises les plus graves. Il ne s'effraye de rien, parce qu'il calcule tout.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Semez le mensonge, il n'en sortira jamais que complications, périls, honte, faiblesse et témérité.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La science limitée, c'est l'ignorance ; la foi limitée, c'est le doute.

Émile de Girardin - Questions politiques (1858)

Ce qu'il y a de pire, ce n'est pas la médiocrité proprement dite : c'est la médiocrité satisfaite d'elle-même ; c'est la médiocrité qui prend pour le but le point où elle s'arrête à mi-chemin et quelquefois même au premier pas.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Par la maternité, la femme se relève et s'élève. Elle n'est plus irresponsable et désœuvrée. Elle tient dans ses mains — elle le sait — l'œuvre de l'avenir, et elle en répond. La trame qu'elle ourdit est celle de l'humanité. La fonction qu'elle accomplit est la plus haute, la plus noble, la plus difficile de toutes les fonctions. En est-il, en effet, de plus difficile, de plus noble et de plus haute que celle de concevoir un enfant, de le porter neuf mois dans ses entrailles, de lui donner la vie au risque de perdre la sienne, de l'allaiter pendant plus d'une année, de l'élever, de l'instruire, de discerner ses qualités, de reconnaître ses défauts, de former son caractère, son cœur et son esprit ?

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

C'est par la clémence souveraine s'exerçant librement que se manifestent et se prouvent la modération et la fermeté d'un système politique. La clémence est un gage de force accordé par la confiance du souverain à la sécurité publique.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Le droit de punir commence par n'être que la satisfaction du besoin de vengeance.

Émile de Girardin - Du droit de punir (1871)

On n'a le droit, sous aucun prétexte, de tuer, de violer, ni de voler.

Émile de Girardin - Du droit de punir (1871)

Tuer un homme et lui voler l'argent qu'il possède est un acte criminel puni par la justice. Tuer cinq cent mille hommes et leur voler le sol sur lequel ils étaient nés est un acte glorieux, immortalisé par l'histoire ! A-t-on ouvert le cerveau humain pour vérifier si entre le meurtre et le vol glorifiés et le meurtre et le vol qualifiés il y a une séparation qui empêche la confusion et mette à l'abri de la méprise la logique laissée par l'ignorance à l'état brut et primitif ?

Émile de Girardin - Du droit de punir (1871)

À vingt ans on peut être mécontent de son sort, mais on n'est pas encore détaché de la vie ; l'espérance, ce mirage qui nous abuse jusqu'à la tombe, et nous y conduit, glace le courage, enchaîne la volonté. Non ! à vingt ans, ce n'est pas de la vie dont il est difficile de se défaire : c'est de l'espérance.

Émile de Girardin - Émile (1827)

Il y a aussi loin de l'obstination à la fermeté qu'il y a loin de la fermeté au découragement.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Qui assure ses arrières n'est jamais dépourvu.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

L'apprenti, la plupart du temps, n'est que le domestique de l'atelier.

Émile de Girardin - La liberté dans le mariage par l'égalité (1854)

La force n'engendre que la force.

Émile de Girardin - Paix et liberté (1864)

Ouvriers sans travail ; gouvernement sans idées.

Émile de Girardin - Pouvoir et impuissance (1865)

L'hypocrisie a des alliés et des cautions que la vertu n'a pas.

Émile de Girardin - La politique universelle (1852)

La liberté, c'est le mouvement ; l'autorité, c'est l'immobilité.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La division tue ; l'unité vivifie.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Où l'on reconnaît qu'un gouvernement a été sage, habile, prudent, prévoyant c'est alors que, soumis à des épreuves difficiles, il en triomphe facilement.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Quand la douleur absorbe les facultés, on ne cherche pas les remèdes, on les évite.

Émile de Girardin - Émile (1827)

Aimer la liberté, c'est aimer l'ordre qui en est à la fois la conséquence et la garantie.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Avec l'autorité, rien de plus difficile que de gouverner ; avec la liberté, rien de plus facile.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

L'art de gouverner, c'est l'art d'accroître le bien-être et la moralité d'un peuple.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La fraternité suppose que tout sentiment de haine et d'hostilité aura disparu dans les cœurs, et qu'en aucun cas on ne recourra à la force.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Qui dit concurrence dit rivalité.

Émile de Girardin - Les questions de mon temps (1836-1846)

Tout le monde parle de progrès, et personne ne sort de la routine.

Émile de Girardin - Les questions de mon temps (1836-1846)

L'esprit d'exclusion engendre l'esprit d'exclusion.

Émile de Girardin - L'ornière (1871)

L'impôt est et doit être la mesure de la richesse.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Les idées s'expriment par des mots, mais les mots doivent exprimer des idées.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

De même que la saleté, la propreté est contagieuse. La propreté dans les rues, dans les cours, dans les maisons, ne manque jamais de s'étendre aux appartements, aux ménages, aux individus. C'est surtout par les logements d'un peuple qu'on peut juger du degré de civilisation auquel il est arrivé.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Enfermer un malfaiteur avec des malfaiteurs plus pervertis que lui, ce n'est pas le punir, c'est encore moins le corriger ; c'est faire descendre dans son cœur le ressentiment, ce n'est pas faire monter la honte à son front !

Émile de Girardin - Du droit de punir (1871)

On me demande : « Qu'appelez-vous un bon gouvernement ? » — Je réponds : Qu'appelez-vous un bon vaisseau ? Qu'appelez-vous un bon fusil ? Un bon vaisseau, n'est-ce pas celui qui est construit de telle sorte qu'il soit en état d'affronter les épreuves de la plus longue ou de la plus difficile traversée ? Un bon fusil, n'est-ce pas celui qui peut contenir la plus forte charge avec le moins de risque d'explosion, porter à la fois le plus loin et le plus juste ?... Eh bien, un bon gouvernement, c'est le gouvernement qui remplit les conditions les plus propres à atteindre le but qui lui est assigné ; c'est celui qui offre le moins de prise au danger d'un naufrage, ou le moins de chance à l'éclat d'une explosion ; c'est celui qui, existant en vertu de certaines lois, les observe strictement ; c'est celui qui ne prend pas le sommet pour la base et la base pour le sommet ; c'est celui qui ne fausse aucun ressort ; c'est celui qui puise sa force dans son homogénéité ; c'est celui qui fonctionne sans frottements nuisibles ou dangereux ; c'est celui qui met en mouvement toutes les énergies de la nation ; c'est celui qui imprime à la circulation, sous toutes les formes, l'essor le plus rapide ; c'est celui qui augmente la valeur de l'actif national ; c'est celui qui diminue le paupérisme ; c'est celui qui ne laisse en retard aucun progrès réel, en souffrance aucune prétention légitime, en suspens aucune question importante, à l'écart aucune capacité reconnue, aucun concours utile ; c'est celui qui embrasse et satisfait le plus grand nombre d'intérêts généraux ; c'est celui qui s'élève le plus haut au-dessus des considérations purement individuelles ; enfin, c'est celui qu'il est facile de réformer et difficile de renverser.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Toute gloire que l'on consent à payer est une gloire dont il faut se défier ; car ce n'est pas une gloire, mais un luxe — luxe que la nation la plus riche ne se donne jamais impunément, car il ne sert qu'à la faire accuser de faiblesse ou d'iniquité. Si elle ne se fait pas rembourser par le vaincu ses frais d'expédition, le monde en conclut hautement ou que sa victoire est douteuse, ou qu'elle a reconnu que la guerre qu'elle avait faite n'était pas légitime, ou qu'elle n'a pas osé la pousser jusqu'au bout.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Ce ne sera que par les grands travaux de la paix qu'on fera diversion aux ardentes tentations de la guerre. Si dispendieux que paraissent les travaux de la paix, ils ne coûteront jamais la dixième partie de ce que ces tentations coûteraient, alors même qu'elles resteraient à l'état de velléités. La France est avide de gloire. Il lui faut ou la gloire que promet la guerre, ou la gloire que peut donner la paix.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Avec une politique droite, habile, ferme, persévérante, exempte de témérité et de morgue, mais exempte aussi de timidité et d'abaissement ; avec une administration simple, vigilante, économe, judicieuse, la France peut encore reprendre en Europe le rang qu'elle n'y aurait jamais dû perdre.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Ce qui caractérise le peuple français, c'est un admirable esprit d'à-propos qui sait revêtir toutes les formes les plus simples, les plus brillantes, les plus caustiques ; c'est un sens droit, c'est un sens prompt à saisir toutes choses : précieux et puissant ressort qu'on n'a pu réussir à briser, mais dont de maladroits gouvernements n'ont pas su se servir.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Soyons forts, si nous voulons consolider nos institutions, affermir la paix et calmer les susceptibilités du pays. Plus le pays se sentira fort, et moins il sera disposé à se montrer ombrageux.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Force armée et liberté respectée ne sauraient vivre longtemps ensemble. Le passé et l'histoire sont là pour l'attester.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La fausse fermeté amasse les nuages ; la vraie fermeté les dissipe.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La vie qu'on ôte à l'assassin ne rend pas la vie à la victime.

Émile de Girardin - Du droit de punir (1871)

Je ne demande pas aux baïonnettes où elles ont été forgées, aux balles où elles ont été fondues. Je demande aux baïonnettes de se changer en socs de charrue ; je demande aux balles de se changer en lettres d'imprimerie.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Les faits valent mieux que les mots.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Élevée à la hauteur d'une doctrine, l'acceptation loyale du Fait Accompli simplifie tout ; elle cicatrise les plaies, elle apaise les haines, elle met fin aux récriminations, elle renouvelle les rapports', elle étend les points de vue, elle ouvre de nouveaux horizons.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Entre l'absolu et l'arbitraire, il y a autant de distance qu'il en existe entre la vérité et l'erreur.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La politique tend chaque jour à se transformer plus qu'on ne paraît s'en douter. Autrefois, l'État le plus puissant était celui qui se faisait craindre ; aujourd'hui, l'État le plus puissant est celui qui se fait envier. La prépondérance qu'il exerce est surtout dans l'exemple qu'il donne.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Le premier intérêt perçu d'une épargne placée a souvent fait d'un prodigue un homme économe.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Diviser les hommes, c'est créer des unités.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Les détails sont à toute bonne organisation ce que les racines sont à l'arbre. Sans l'étendue et la profondeur de ses racines, le chêne séculaire ne résisterait pas à la violence des ouragans.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

De vaincu à vainqueur, il n'y a pas de traités ; il n'y a que des trêves.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Qui est gravement menacé se croit facilement trahi.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Il y a des torts qu'on n'efface qu'en les expiant.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La tolérance qui n'est pas la même pour tous a un nom, elle s'appelle partialité.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La maternité, ce devrait être la vertu de la femme, son honneur et son bonheur, sa récompense !

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Tuer le meurtrier, c'est l'absoudre par imitation.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Quand on n'est pas le plus fort, il faut être le plus courageux.

Émile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La tolérance est la corruption du sentiment de la liberté. Pourquoi j'aime la liberté et pourquoi je n'aime pas la tolérance, c'est que la tolérance est toujours et inévitablement l'arbitraire et l'inégalité. Si elle n'était jamais ni l'inégalité ni l'arbitraire, elle serait la liberté sous un autre nom, et que m'importerait le nom si j'avais la chose !

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Il n'y a que deux manières de commander la confiance : par la prudence ou par l'audace.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

L'Anglais a la crainte du péril et l'amour de la loi ; le Français a la haine de la loi et le mépris du danger.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Il y a des passions qu'il ne faut jamais déchaîner.

Emile de Girardin - Les questions de mon temps (1836-1846)

Je crois à la force de la patience, mais je ne la confonds pas avec la prodigalité du temps.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

La liberté légale est celle dont le plus faible ne jouit que par le bon vouloir du plus fort.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)

Les illusions n'aboutissent qu'à fausser les situations et les caractères.

Emile de Girardin - Les pensées et maximes (1867)
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