L'étude est la plus solide nourriture de l'esprit, c'est la source de ses plus belles lumières,
Il n'y a guère que du vide dans les choses de ce monde, mais il y en a moins dans l'étude qu'ailleurs ; L'étude est une grande ressource dans tous les temps, et elle nourrit l'âme jusqu'au dernier moment.
La plupart des plaisirs ne sont que des amusements frivoles : ils ont surtout un grand inconvénient, c'est qu'on ne peut les goûter seul. Le jeu le plus simple exige au moins deux personnes, mais l'étude procure des plaisirs, utiles dans la plus profonde solitude.
La volupté est un sujet d'étude qui brûle toujours ceux qui ne prétendent que l'observer.
L'étude est l'ornement et le lustre d'un homme, elle donne un brillant merveilleux à ses qualités.
L'étude ne saurait faire un habile homme d'un sot, elle suppose certaines dispositions naturelles, comme un fond sur lequel elle puisse travailler, sans quoi elle ne sert qu'à ajouter le ridicule à la sottise.
Les études de la jeunesse font la jouissance de la vieillesse.
La vie est un rosaire de déceptions marmoté en jurant par le vulgaire, mais que le philosophe égrène en riant. Pour celui-ci, la déception même se change en plaisir par l'étude.
L'étude est à l'esprit ce que la gymnastique est au corps.
Qui emploie à jouer le temps destiné à l'étude doit employer à l'étude le temps où il devait jouer.
L'étude est la seconde consolation, l'amitié est la première.
L'étude et le travail me consolent de beaucoup de privations.
L'étude réunit tous ces avantages qu'elle distrait des peines, adoucit les souffrances, diminue les besoins, console des pertes, en même temps qu'elle augmente les jouissances de l'amour-propre.
Une demi-heure d'application vigoureuse fait plus d'effet qu'une journée d'études languissantes.
La première étude de l'homme c'est l'homme même. À quoi lui servent les plus belles connaissances, s'il ne connaît ni lui ni ses semblables.
On cherche plus, dans ses études, à remplir sa tête pour discourir et pour paraître dans le monde, qu'à éclairer et cultiver son esprit pour bien juger des choses.
Il n'y a que l'étude, les connaissances, les réflexions, qui élèvent les hommes.
L'indépendance financière est un trésor, l'étude et le travail en sont la clé.
Si l'on faisait une étude sérieuse sur le caractère de la plupart des hommes et des femmes, on remarquerait aisément que les personnes qui s'admirent avec le plus de facilité, sont celles qui sont le moins affectées des sentiments qu'on leur suppose.
Nous n'avons point d'étude plus essentielle et plus salutaire que celle de nous-mêmes ; c'est ce qui nous est personnellement propre, et non ce qui nous est étranger que nous devons nous appliquer à connaître ; il faut nous instruire de nos défauts pour les réformer, et des dons que la nature a mis en nous pour en régler l'usage, l'objet et la fin.
Si l'étude te manque, apprends la patience ; renonce, attends, adore, obéis, soumets-toi : La patience, ami, dépasse la science ; ne pouvant plus offrir ton œuvre, offre ta foi.
Ne prenons pas l'étude pour un refuge quand il s'agit d'un tremplin.
Il y a dans l'ardeur de l'étude des joies idéales faites pour les nobles âmes.
Il n'est pas de satiété dans l'étude.
Que chacun choisisse le genre d'étude qui convient le plus à son talent.
La philosophie est l'étude de la vertu.
Une étude approfondie de l'humanité la fait juger avec plus d'indulgence.
La prudence, l'étude et les réflexions, élèvent un cœur noble aux grandes actions.
Le plus grand bonheur de l'étude consiste à trouver les raisons soi-même.
Le but des études doit être de diriger l'esprit de manière à ce qu'il porte des jugements solides et vrais.
Au moral comme au physique, la sagesse vient avec l'étude.
L'amour de l'humanité, sans l'amour de l'étude, a pour défaut l'ignorance ou la stupidité.
Qui se livre à l'étude de la sagesse a en vue les émoluments qu'il en peut retirer.
Les sciences sont des serrures dont la clé est l'étude.
L'étude est le garde-fou de la jeunesse.
Qui aime l'étude est bien près de la science morale