Il faut savoir aimer les siens, sa propre famille, avant de pouvoir aimer les autres.
La devise de notre famille : Qui s'y frotte s'y pique.
L'honneur de la famille m'est plus cher que la vie.
Tenez-vous à garder votre originalité ? Vivez loin des villes ; n'ayez qu'une société, la famille ; qu’un livre, la nature ; qu’un ami, un chien !
La famille n'est qu'une horde de parents assommants qui ignorent tout à fait comment vivre et sont incapables de deviner quand ils devraient mourir.
On ne peut être mieux qu'au sein de sa famille.
Il n'y a de vrai bonheur, de vraie tranquillité, que dans le sein des familles.
Le droit au divorce est comme un coin au cœur de la famille ; sous le coup des événements, il pénètre et s'enfonce jusqu'à ce qu'il fasse tout éclater.
Triste société que celle où la famille en arrive, par crainte des charges, à bénir sa stérilité.
Les vastes familles sont moins empoisonnantes que les petites, tout comme on est plus tranquille dans une grande ville que dans une petite.
Il n'y a point de tableau plus charmant que celui de la famille
Le bonheur pour un couple avec un enfant se trouve dans l'existence paisible de la famille.
Cents familles à dix mille livres de rente sont plus utiles qu'une seule à un million.
L'enfant, lien du père et de la mère, achève la famille et en fait l'unité.
Rien ne ressemble plus à la famille que le clan uni et solidaire.
Quand les traditions de famille se perdent, l'esprit national s'anéantit.
Le déjeuner de famille est un plaisir pour moi ; il y a de la vie, de la chaleur, et tout cela sur le fond solide et touchant de l'affection vraie. Que la famille est douce, pure, sainte ! oh ! sainte est le mot ; certains mots, vagues pour l'esprit, satisfont le cœur à merveille.
Souvent je me demande à quoi tient l'espèce de joie que l'on éprouve quand un membre de la famille vient vous faire une visite. C'est une joie particulière, différente de celle qu'apporte un ami avec lequel on n'a pas de lien du sang, et l'aimât-on, cet ami, bien davantage.
Dans les familles bien ordonnées chacun travaille instinctivement à la joie de tous, tous se sentent nécessaires à tous et se complètent mutuellement. Chaque don particulier est encouragé, sollicité, utilisé, applaudi. On s'aiguillonne et on se tempère par l'action réciproque. Si la société humaine pouvait réaliser le même programme, le monde serait, non plus une galère où se battent les forçats, mais un lieu de félicité.
Vous, jeunes hommes, auxquels Dieu a donné la santé, la force, l'intelligence, vous êtes coupables, si vous ne vous mettez pas en mesure de soutenir votre famille et de défendre votre pays.
La famille est faite pour la protection, pour la chaleur du nid. Un nid où il y a le père, ou quelqu'un d’autre qui assume les responsabilités.
Sans le partage de sa vie, sans la paternité, sans la fondation d'une famille, tout homme se sentira, par le cœur et par la conscience, incomplet et malheureux.
Les meilleures joies appartiennent à la famille : les plus douces en sortent et les plus pures y restent.
Tu es de ma famille, de mon ordre et de mon rang ; celle que j'ai choisie, celle que je ressens.
L'honneur d'une famille se défend de génération en génération.
Une famille ne peut être plus ancienne qu'une autre : les pères étaient contemporains comme le sont leurs enfants.
La famille n'est jamais qu'un assemblage de gens ennuyeux, qui n'ont pas la moindre idée de la façon dont il faut vivre.
Il n'est pas facile de plaquer sa famille, même si les liens qui vous attachent à elle sont très effilochés. La famille est assommante, mais elle est commode.
La famille est un dépôt confié par la morale et la société à la probité des femmes ; position délicate qui leur fait une loi et une vertu du respect pour l'opinion, dont l'homme doit savoir quelquefois être indépendant, n'étant point chargé d'une aussi scabreuse responsabilité.
Il y a dans presque toutes les familles un homme déraisonnable, susceptible, irascible, plein de difficultés ; tout le monde s'applique à le ménager, on s'étudie à adoucir son humeur ; on a de grands égards pour ses nerfs, on parle bas devant lui, on lui cède la première place, et, s'il consent à se déclarer satisfait, on lui sait un gré infini de sa condescendance.
Là où est la famille tout s'épure ; que, rassemblée, c'est un sanctuaire d'où la souillure est bannie.
Toute famille respectable doit avoir un voyou pour pouvoir riposter à des voyous.
Dans les pays où la vie de famille a diminué d'intensité, les hommes éprouvent le besoin de penser avec la foule.
Chaque famille est un essai de la vie humaine, chacune développe le germe caché dans le bouquet de noces.
La famille, source de délices, est aussi parfois la source des plus atroces douleurs.
Les zizanies de famille, pour affaires d'héritage, sont une boutique à poisons.
Quels sont mes devoirs de famille ? Mes devoirs de famille sont simples, et mon coeur me guidera : Aider chacun à porter le poids de la vie, à la rendre plus facile, plus pure, plus aimable, plus sérieuse et plus cultivée. Donner de bons conseils, participer aux soucis et aux espérances, être un ami, un appui, un bon parent.
Les préjugés de famille, je m'en moque ; les convenances sociales, je les foule aux pieds.
Tu dois considérer ta famille comme le pire ennemi de ta liberté.
La véritable famille n'existe que dans le mariage.
La famille, c'est le calme dans la vie, c'est l'affection paisible et sans remords.
Au sein de la famille, l'enfant apprend à vivre avec des êtres qui ne le comprennent pas.
Sans la famille, l'homme peut être citoyen d'une république, capable de défendre son corps de toute violence ; mais il ne s'appartient plus, et brisé par l'impuissance de vivre des plus saintes et des plus chères affections de sa nature, il languit sans épanchement et sans consolation.
Il arrive un moment, dans la vie des familles, où les enfants deviennent les juges de leurs parents.
Moi, les vacances en famille, cinq minutes, ça va ; mais je passerai jamais professionnel !
On est de la même famille lorsqu'on s'entend bien.
À chaque famille qui s'éteint, c'est une force sociale qui se perd.
La famille est le plus doux des liens.
Le bonheur, qui habite aussi bien les chaumières que les palais, prend sa source dans l'union des familles.
Le bonheur repose en famille, sous ce petit toit.
Une goutte de sang vaut mieux que mille amis?