Le peuple affamé a de vrais amis, il trouve en eux non seulement tolérance, mais faveur et respect. Ce siècle, tout corrompu qu'il soit sur tant de points, honore et respecte, il faut le dire à sa louange, ceux qui se vouent à l'amélioration du sort du peuple et qui cherchent à rendre plus léger le joug qui pèse sur la tête des fils désolés d'Adam.(Extrait de : Les discours aux conférences de Saint-Vincent-de-Paul publiés en 1853.)