Les citations célèbres de Friedrich Nietzsche.

La femme apprend à haïr dans la mesure où elle désapprend de charmer.

Parler beaucoup de soi peut être un moyen comme un autre pour se cacher.

La pensée du suicide est une puissante consolation, elle aide à bien passer plus d'une mauvaise nuit.

Ce qui se fait par amour se fait toujours par delà le bien et le mal.

Qui lutte contre les monstres doit veiller à ne pas le devenir lui-même.

Dans la vengeance comme dans l'amour, la femme est plus barbare que l'homme.

Un seul homme sans joie suffit pour créer dans toute une maison une humeur chagrine.

Rire, c'est être malicieux, mais avec une bonne conscience.

Se consoler, c'est savoir accepter les conséquences.

La cruauté est le remède de l'orgueil blessé.

Connaître, c'est comprendre toute chose au mieux de nos intérêts.

Qui sait commander trouve toujours ceux qui doivent obéir.

Que l'homme cache ses mauvaises qualités et ses vices ou qu'il les avoue avec franchise.

Vouloir le vrai, c'est s'avouer impuissant à le créer.

Les convictions sont plus dangereuses que les mensonges.

Il faut avoir l'esprit et la bonne conscience de sa fourberie.

Le fourbe est un animal inférieur, un dégénéré.

Voir souffrir un ennemi est la jouissance des jouissances.

C'est perdre de sa force que compatir.

Les pensées sont les ombres de nos sentiments.

C'est entre ce qui est le plus semblable que l'apparence fait les plus beaux mensonges.

Une âme délicate est gênée de savoir qu'on lui doit du remerciement, une âme grossière, de savoir qu'elle en doit.

Si tu as un ami qui souffre, sois un asile pour sa souffrance.

Un seul est toujours de trop autour de moi, ainsi pense le solitaire.

Faites donc ce que vous voulez, mais soyez d'abord de ceux qui peuvent vouloir !

Ce qu'on fait n'est jamais compris mais seulement loué ou blâmé.

Le châtiment est fait pour améliorer celui qui châtie.

Le génie réside dans l'instinct.

Plaisir - Sensation d'un accroissement de puissance.

Le bonheur, quel qu'il soit, apporte air, lumière et liberté de mouvement.

La connaissance tue l'action, pour agir il faut que les yeux se voilent d'un bandeau d'illusion.

La mère de la débauche n'est pas la joie mais l'absence de joie.

Compatir équivaut à mépriser.

Expérimenter, c'est imaginer.

Voir souffrir un être méprisable, cela ne procure aucune jouissance.

Nul vainqueur ne croit au hasard.

Les convictions sont des prisons.

Quand la paix règne, l'homme belliqueux se fait la guerre à lui-même.

Les animaux considèrent l'homme comme l'animal absurde, qui rit et qui pleure, comme l'animal néfaste.

Le désir est signe de guérison ou d'amélioration.

La libéralité n'est souvent qu'une sorte de timidité.

Dominer est enseigné et exercé, la dureté aussi bien que la douceur.

Si les époux ne vivaient pas ensemble, les bons ménages seraient plus fréquents.

On n'aime plus assez sa connaissance aussitôt qu'on la communique aux autres.