Des prises de position, je n'en ai pas vraiment : ma position est souvent couchée.
Le bonheur n'est pas quelque chose que l'on vit, c'est plutôt quelque chose dont on se souvient.
La fidélité ? Il ne faut pas oublier que le mariage a été institué à une époque où l'espérance de vie ne dépassait pas trente ans.
Le travail paie dans le futur ; la paresse, elle paie comptant.
L'insolence cache beaucoup de choses, elle cache l'essentiel.
Un réactionnaire, c'est quelqu'un qui prend les lanternes pour des vessies.
Semer la merde est une chose, la récolter en est une autre.
Le problème du bonheur, c'est que ça cache toujours quelque chose ; la note finit toujours par tomber.
Ce qui est amusant, c'est de jeter une bouteille à la mer et de croire qu'elle apportera la réponse.
La cravate, c'est le passeport des cons.
J'ai une vie intérieure très riche. Avec tout ce que je bouffe, c'est pas étonnant.
La modestie est l'art de se faire louer une seconde fois.
Le sexe ? J'y connais rien : je suis un homme marié.
En amour, il faut garder ses distances pour éviter l'accrochage.
J'adore le boudin, je déteste les boudins.
La timidité est une forme de politesse.
Je trouve que balancer un pet, c'est moins sale que de voir les gens se laver les dents.
Je me suis inscrit aux Beaux-Arts pour voir. J'ai vu. Je suis reparti.
J'aime pas beaucoup écrire. Je préfère les télégrammes : Stop. Je viendrai pas !
Il faut plaisanter sur tout. Il n'y a que les concierges qui disent : La plaisanterie a des limites.
Je suis assez imperméable aux influences. Une sorte de loden.