Aimer, au-delà d'un je t'aime, c'est la caresse d'un regard, c'est l'attentivité d'un geste, l'accueil d'un sourire qui me reliera à l'aimé, le plus sûrement, le plus solidement.
En ne voulant pas lui faire de peine, je lui ai fait beaucoup de mal.
Le bonheur est une petite lumière qu'il est bon de tenir à l'abri des vents.
L'amour qui cherche à se démontrer, démontre seulement qu'il n'est plus l'amour.
Il ne suffit pas d'avoir de la volonté pour avancer et réussir dans ses rêves et ses projets, il faut aussi de la cohérence, de la rigueur et une compétence réelle pour dépasser les obstacles et les échecs.
Le jaloux est souvent plus préoccupé par son amour-propre que guidé par son amour. Il ne supporte pas que celui qu'il aime et qui l'aime puisse en aimer un autre.
La non-écoute émotionnelle est souvent provoquée par la difficulté à être soi-même, par la difficulté que nous avons à nous connaître et à nous accepter, par la croyance et la conviction qu'il est très difficile voire impossible de s'améliorer, de progresser dans le domaine émotionnel.
L'amour prend des chemins multiples pour se dire et ne pas se dire.
Vivre à deux, c'est accepter de s'amplifier et de se soutenir mutuellement, c'est aussi apprendre à faire cohabiter des aspirations personnelles et des aspirations propres au couple, puis à la famille quand il y a des enfants.
Quand on est en famille on doit s'entendre, ça ne sert à rien de se disputer, sinon à se rendre malheureux !
Être amoureux, c'est être semblable à un feu, on brûle, on danse. On est comme dans une spirale qui nous porte l'un vers l'autre. Celui dont on est amoureux devient notre seul horizon, il est à lui seul tout notre univers.
La vie est une loterie, on perd, on gagne, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.
On ne peut se dicter d'aimer si on n'aime pas ou de ne plus aimer si on aime.
L'amour c'est que tu sois là renaissante chaque fois plus vivante à ma tendresse renouvelée.
Le bien-être s'épanouit dans la convivialité, dans la résonance avec le bien-être d'autrui.
Un des sens de l'amour c'est de trouver la vie bonne, un second est d'apprendre à s'aimer.
Il y a des blessés de guerre, ceux du travail ou de la vie, moi je suis une incurable blessée du cœur.
Le bonheur d'être aimé entre souvent par une porte dont on avait oublié qu'elle était restée ouverte.
Ne perdez pas trop de temps à avoir envie de... à essayer de faire... faites-le !
L'amour crée la tendresse qui survit à l'amour.
Soyez ce que vous êtes mais tentez de comprendre ce que vous déclenchez.
Ce qui rend beau les gens, c'est le regard de l'amour.
L'herbe est toujours plus verte chez les autres, jusqu'à ce qu'on découvre que c'est du gazon artificiel.
Le plus grand risque que nous prenons face à une écoute authentique, c'est d'être enfin entendus !
Pour être écouté, il faut avant tout savoir entendre.
Communiquer c'est pouvoir se dire dans les différents registres qui nous habitent l'un et l'autre, tel celui des idées, des faits qui traversent ma vie ou la sienne, du ressenti ou du vécu qui sont les miens ou les siens, des émotions qui m'agitent ou qui surgissent chez l'autre, du retentissement qui peut être réveillé en moi ou en l'autre au travers de l'échange que nous avons à un moment donné. Et aussi que chacun puisse se sentir entendu dans le registre avec lequel il parle : si j'exprime un de mes ressentis, je veux être entendu dans ce ressenti-là, même si l'autre n'éprouve pas le même.
L'autorité est la capacité d'influencer autrui (par exemple ses enfants) en leur permettant de devenir auteurs de leur propre vie. L'autorité se distingue d'une part de l'autoritarisme (pathologie de l'autorité) et d'autre part du pouvoir, qui sont l'un et l'autre une façon d'imposer une influence sur autrui par la force, la violence ou la manipulation.
Il faut prendre parfois le temps de vivre à plein temps.
Le bonheur est une conquête permanente sur la lassitude et les découragements.
Le bonheur est une petite lumière au plus sombre de soi.
Une relation peut être un port d'attache pour nous donner plus de confiance pour affronter l'inconnu.
Savoir renoncer est un indice certain de maturité.
Choisir c'est prendre le risque de renoncer.
On ne peut avoir l'argent du beurre, le beurre et le sourire de la laitière.
La pire des solitudes n'est pas d'être seul, mais de s'ennuyer en sa propre compagnie.
Apprendre à s'aimer et se respecter est un ancrage essentiel pour apprendre à se responsabiliser.
Les injonctions les plus terribles ne viennent pas d'autrui, mais sont celles que l'on s'impose à soi-même.
Il est des espoirs au long cours qui ont besoin d'un grand rêve pour continuer à survive.
L'espoir et le rêve sont deux univers qui s'agrandissent en se partageant.
Aimer les femmes n'est rien à côté du désir d'être aimé par les femmes.
Il est des enfances sans joies et sans rires, capables d'engloutir le présent et le futur d'un être.
Nul ne sait ce que nous réserve le passé.
Tous les matins de l'amour ont un soir.
Les maux parlent plus fort que les mots.
Communiquer, c'est pouvoir mettre en commun.
Quand il y a le silence des mots, se réveille trop souvent la violence des maux.
La main qui donne la gifle ou la caresse est la même, simple différence d'intention et d'intensité.
Quand on veut, il n'y a pas de problèmes.
Nous sommes pour la plupart d'entre nous, des infirmes de la communication.
Si tu ne sais pas quoi faire de tes mains, transforme-les en caresses.
C'est toujours risqué d'écouter les gens, car parfois on pourrait les entendre !
Communiquer c'est parler de la parole pour mieux parler.
L'amour d'une mère pour ses enfants est donné sans contrepartie.
Tu sais, mon chéri, je t'aime, tu es mon fils adoré, je donnerais ma vie pour toi.
Un papa, c'est le plaisir du jeu et de l'ouverture au monde.
Chacun d'entre nous a besoin d'être reconnu, d'avoir une place identifiée, de ne pas être obligé de toujours se battre pour la garder ou être tenté de prendre celle de l'autre. Pour exister, notre besoin essentiel de chaleur, de tendresse doit être reconnu, entendu, satisfait. Le besoin d'être reconnu va parfois passer avant même le survivre.
Vous savez certainement qu'il y a une mère dans chaque maman ? Comment, vous ne le savez pas ? C'est très simple pourtant ! Fermez les yeux et imaginez une femme qui vient d'accoucher d'un bébé. Elle est partagée, comme divisée à l'intérieur, en deux parties : une partie maman et une partie mère. Quand le bébé sort de son ventre, qu'il « vient au monde » comme on dit, c'est la partie maman qui prend toute la place en elle et la partie mère qui se replie, qui devient toute petite. Mais la partie mère se réveillera en elle un peu plus tard, quand le bébé deviendra un petit enfant.
Une maman, c'est la partie gratifiante, comblante, oblative de la fonction maternante ; c'est celle qui donne, qui accepte, qui rassure, qui comprend, qui manifeste souvent une incroyable tolérance et bienveillance face aux demandes, aux attentes, voire aux exigences d'un bébé, d'un enfant.
Le malentendu avec les adultes, c'est qu'ils croient toujours que les enfants sont des enfants ! Il est quasi impossible de les défaire de cette croyance infondée, d'autant plus qu'ils utilisent une phrase équivoque, à sens multiples : Allez, arrête de faire l'enfant !
Dans une existence qu'on voudrait paisible et heureuse, il n'y a rien qui ne complique plus les choses de la vie que les choses de l'amour. Rien, vraiment rien qui ne rend plus difficile le moindre échange, la moindre tentative de partage que l'apparition, la présence ou le soupçon le plus ténu de ce sentiment dans une relation.
Je t'envoie un rire doux sur un rayon de lune, un rire si ému qu'il faudra plisser les yeux pour le voir.
La confiance en soi est une conquête permanente sur l'imprévisible de la vie, elle n'est pas acquise une fois pour toutes, mais elle doit se ressourcer, se reconstruire, se confirmer et s'embellir chaque jour, pour pouvoir faire face à la fois à la mouvance d'une existence et à l'irruption de l'inacceptable.
L'écoute de l'autre donne son sens et son importance au dire.
À l'écoute de ta vie j'ai cueilli des étoiles, j'ai effacé des doutes, j'ai approché de nouvelles certitudes, et dans la profondeur de ta lumière j'ai enfoui tourments et lassitudes.
Nul n'est plus sourd que celui qui entend.
Il faut oser vivre à plein temps chacune de nos vies.
Regarder c'est simplement laisser venir à soi des images à partir de ce qui nous entoure, voir c'est en plus donner un sens, une signification à ce qu'on regarde. Beaucoup d'entre nous se contentent de regarder sans voir réellement ce qu'ils ont simplement regardé.
Communiquer se fait autour de deux axes, de préférence en réciprocité, c'est-à-dire valables pour moi et l'autre. Pouvoir me dire et laisser à l'autre la possibilité de se dire, si telle est son attente. Me sentir entendu et avoir la capacité d'entendre l'autre s'il en a le désir.
Je viens du pays de mon enfance, c'est très loin dans la vie de ma grand-mère, et tout proche dans la vie de ma mère.
Si faire une promesse est une chose, la tenir en est une autre.
La tendresse est la sève de la vie, sans tendresse une relation reste en attente d'être fécondée.
Quand tu m'offres le sourire d'un regard, je deviens le plus beau sourire du monde.
Décider d'apprendre à communiquer, c'est ouvrir une fenêtre en soi et des portes vers les autres.
Apprendre à s'aimer, c'est un ancrage essentiel pour apprendre à mieux se responsabiliser.
Le plus beau cadeau fait à un être aimé, la non-appartenance : je ne possède pas celle que j'aime, je la reçois.
La tendresse, c'est mon regard émerveillé sur ce que tu me donnes, c'est ton regard ébloui sur ce que je reçois.
Chaque sourire reçu est un soleil pour me faire grandir.
Je t'aime quand l'avenir est le présent de chaque instant.
Ose le meilleur de ta vie, car personne d'autre ne la vivra pour toi.
Tomber amoureux, c'est s'élever à la rencontre du meilleur de soi.
La tendresse, c'est aussi savoir ne pas envahir l'autre de son amour quand il ne peut le recevoir.
La communication relationnelle ne peut être confondue ni opposée à la communication de consommation. Cette dernière valorise l'expression au détriment de la mise en commun, à travers une surenchère d'informations qui nous sature et même nous intoxique. Faite de commentaires, de discours dénués de véritables messages, elle ne sollicite ni l'implication, ni l'engagement.
Permets à mon sourire de t'offrir ma tendresse, permets à ma main de t'apporter du doux, permets à mon regard de te dire ton importance, et accepter ainsi ma gratitude au cadeau de ta présence.
Agir, c'est aimer le soudain, c'est accueillir l'instant et oser demander plus au présent.
Quand les sentiments s'étiolent, le difficile est de passer de l'amour à l'humour.
Toute rencontre nouvelle est susceptible d'éveiller l'impensable.
La rencontre est le temps des espoirs les plus fous.