J'aime trop la vie pour ne vouloir être qu'heureux,disait Pascal Bruckner. Une écrivaine et journaliste française, Françoise Giroud, a écrit :
J'aime la France, j'aime ce pays de façon charnelle ; j'aime ses coteaux et ses rivières, ses terres rouges, ocres ou noires, ses pierres blondes ; j'aime l'intelligence de ses habitants, comparés à ceux des autres contrées ; j'aime leur goût de la vie, sans être aveugles pour autant.
Je suis un incurable pessimiste qui aime la vie.
Je suis pas une personne bien ordonnée, j'aime que ça bouge, j'aime que ça tourne, j'aime que ça chante, bref, j'aime la vie !
Je suis envieux, parce que j'aime trop la vie pour ne pas être égoïste.
J'aime la vie libre, aux larges horizons, loin de tous les médisants qui rabaissent l'âme.
J'aime la vie tranquille, et la mienne est agitée par une infinité de détails turbulents.
Un an déjà ! chaque année passe plus vite que la précédente. Je n'aurais pas tellement à attendre avant de m'endormir à jamais. Cependant je savais combien les heures peuvent lentement se traîner. Et j'aime encore trop la vie pour que l'idée de la mort me console.
J'aime les sourires qui succèdent aux sourires avec la franchise au fond des yeux.
J'aime la vie pleine et profonde, sincère et complète. À la fois optimiste et pessimiste, ironique et passionnée, — et par-dessus tout cela, maîtresse de soi, — sereine.
J'aime la vie, c'est le plus grand scénariste du monde, le plus incroyable, mon scénariste préféré. Le cinéma, c'est la vie en mieux. On y rencontre les personnages de la rue en plus beaux, plus intelligents, plus sexy. Comme des modèles améliorés, réussis et performants. Dans l'histoire du cinéma, tous les films qui parlent de la vie sont des exemples.
J'aime la vie quand elle rime à quelque chose.
J'aime la vie pour l'action, oui, pour l'action même modeste.
J'aime la vie pour la beauté de ses rêves.
J'aime mieux être barbeau que d'être président de la République.
La vie est passionnante quand on fait ce que l'on aime.
J'aime la vertu sans rudesse ; j'aime le plaisir sans mollesse ; j'aime la vie.
J'aime la vie libre, générale, aux larges horizons, et dans notre existence bourgeoise ordinaire, mille liens lilliputiens rabaissent l'âme. On vit par ses racines inférieures, on s'occupe forcément de petitesses sans nombre. Ce n'est point la vanité qui réclame en moi, mais la dignité. Ce que je reproche à notre vie ordinaire, c'est la trivialité, la banalité ; plongés dans le temps, le détail, la minutie, le calcul, nous oublions notre âme, notre vie immortelle, notre spiritualité infinie ; nous nous rapetissons, nous étiolons, nous avilissons. L'aigle devient volaille, l'oiseau fier, libre, aventureux devient timide et grossier citoyen de basse-cour. — Nous devenons chapons. — La poésie, l'art, l'enthousiasme, le génie, le sacrifice passent à perte de vue par-dessus nos têtes, et nous broutons courbés vers le sol. Notre cœur devient étroit au lieu de s'élargir. La vie bourgeoise nous appauvrit ; la gêne est un esclavage. - Ce que je veux, c'est la liberté spirituelle, la dignité humaine. Je la rencontre dans un cercle, et j'y tends. C'est tout simple.
J'aime la fleur, comme l'oiseau qui chante, et le bleu de vos yeux comme le bleu du ciel.
J'aime chaque saison pour ce qu'elle apporte.
Ce qui fait toujours aimer la vie, c'est l'espérance. Bien peu, sans doute, pourront dire en mourant : J'ai été heureux ! tous diront : J'ai espéré. Or, l'espérance est une vue du bonheur : Le rêve du bonheur est un bonheur réel.
J'aime beaucoup les ennuis, ce sont bien les seules choses qui ne se prennent pas au sérieux.
Si tu aimes la vie, ne prodigue pas le temps, car c'est l'étoffe dont la vie est faite.
J'aime avec l'énergie d'un cœur que nulle passion n'a encore fatigué.
J'aime les gens dont l'âme peut se lire, qui disent bonnement oui pour oui, non pour non.
J'aime la vie, et vivre est la chose certaine, mais rien ne sait mourir comme les bons vivants.
J'aime votre figure, j'aime vos yeux, j'aime votre tournure, j'aime votre esprit.
J'aime ta joie parce qu'elle est folle ; elle annonce que tu es heureux.
J'aime le parfum qui revient, l'étoile qui reparaît, le regret qui recommence, j'aime tous les serviteurs de la fidélité.