Les joies de la famille sont de douces joies ; l'amour d'une femme donne des instants d'un bonheur délicieux.
La joie est une brûlure qui ne se savoure pas.
La joie est une passion par laquelle l'âme jouit du bien présent, et s'y repose.
Toute joie est enceinte d'une peine qui naîtra viable et vivra longtemps, non sans causer, dès les couches, la mort de sa mère.
Faut-il qu'il m'en souvienne, la joie venait toujours après la peine.
Toutes les joies que la vie nous offre sont en notre chair.
Un cœur ne se trouve qu'en se donnant : être aimé, c'est sa joie ; aimer, c'est sa vie.
L'amour est dynamique, il est constructif, il est par excellence créateur de joie.
L'amour est une joie lumineuse et céleste qui doit remplir l'âme, et par l'âme le corps.
La joie est contagieuse, elle permet de ne pas se laisser paralyser par la dépression et la solitude.
La joie est la plus grande babillarde du monde.
À défaut du vrai bonheur, nous appelons bonheurs nos joies éphémères.
Les heureux de ce monde sont les hommes qui ont quelques joies pour compenser leurs peines.
Le désir est une joie anticipée.
La joie qu'un homme éprouve en faisant du bien s'accroît de l'estime et de l'amour des autres.
La communauté de joie et de douleur entre deux personnes provoque ces doux épanchements où elles confondent leurs deux âmes en une seule.
Comme la joie est vite fatigante ! Pour rien au monde je ne voudrais être trop heureux. La joie fait au cœur l'effet d'une glace qui brûle.
La tristesse a ses plaisirs aussi bien que la joie.
La joie de faire du bien est plus douce que celle de le recevoir.
Rien n'est durable dans la vie : la douleur et la joie se succèdent, mais hélas ! surtout la joie est passagère.
La joie du cœur se répand sur le visage ; la tristesse de l'âme abat l'esprit.
Le bonheur qui fait trop de bruit importune les malheureux, il faut savoir mettre des sourdines à ses joies.
Ô cœur îles de joie sur fond de peine, la joie est une soie sur fond de laine.
La femme est encore plus indispensable à l'homme dans ses douleurs que dans ses joies.
Les grosses joies procèdent de la fureur, elles épouvantent.
Si nous retranchions de nos joies l'excès qui les attriste, il nous en resterait assez pour appeler le sourire sur les lèvres de tous les malheureux.
La joie semble si peu naturelle qu'on est toujours disposé à suspecter d'ivresse un homme trop joyeux.
Il n'y a réellement que la douleur qui soit à nous, tout le reste, y compris nos joies, est à autrui.
Dans les sentiers de la joie, tous ne peuvent se baisser pour cueillir une fleur.
La moindre joie ouvre sur un infini.
La joie est souvent mère de quantité de folies.
Il est dur de voir bouillonner partout la vie excepté dans ses veines, et voir revenir partout la sève, la joie, l'espérance, excepté dans son cœur.
S'instruire par les baisers, c'est marier l'étude et la joie.
Joie ou douleur, tout demande sans cesse à sortir de ton cœur.
Qui sème dans les larmes recueille dans la joie.
La joie s'envole et le souci la remplace avec le désenchantement.
Celui qui vit sans femme vit sans joie?