Le pouvoir surmonte le devoir.
Le pouvoir, sous la république, finit toujours par revenir aux plus ignorants ou aux plus scélérats.
Le pouvoir de l'homme est grand, car il peut obéir au devoir, et se résigner au malheur.
Le pouvoir, c'est le fait ; l'autorité, c'est le droit. L'un crée la nécessité et l'autre la soumission.
Le pouvoir nous aveugle sur nos propres défauts.
Le pouvoir il arrive souvent qu'il outrepasse ses droits ou empiète sur les droits d'autrui.
Ceux qui méritent à tout jamais le mépris et l'exécration de la France, ce sont ces habiles qui, pour parvenir au pouvoir et se le partager, ont dit un jour au peuple : Tu es souverain !
Tout homme qui a le pouvoir entre les mains s'en sert tôt ou tard, et finit par en abuser.
Le pouvoir absolu sous des formes populaires est le grand œuvre du machiavélisme.
Si le pouvoir se fourvoie et tombe dans le précipice, ce n'est jamais à ses fausses mesures, à sa maladresse, qu'il s'en prend, mais bien à l'opposition qui lui signalait le danger lorsqu'il était encore possible de l'éviter.
Le pouvoir suprême croit tout, quand on le flatte.
Le pouvoir est la surveillance du tout.
Le pouvoir qu'on nous prête nous en donne.
Le pouvoir corrompt les hommes.
Ce qui fait kiffer le mâle alpha, c'est le pouvoir.
Le pouvoir de faire la guerre est souvent un moyen de la prévenir.
Le pouvoir excessif rend fou.
Le pouvoir peut être l'ambition des forts ; la politique n'est jamais que la passion des médiocres.
Le pouvoir de tout modifier est dans notre volonté.
Le pouvoir absolu est nécessairement hostile et spoliateur.
Le pouvoir et le vouloir se disputent la souveraineté.
L'histoire du monde n'est autre chose que la lutte du pouvoir contre l'opinion générale. Lorsque le pouvoir suit l'opinion, il est fort ; lorsqu'il la heurte, il tombe.
Le pouvoir des bienfaits le trouve inaccessible.
Le pouvoir est peut-être la seule chose dans ce monde qui ne gagne pas à être aimée.
Le pouvoir habite près de la nécessité.
À quoi ça sert le pouvoir, si ce n'est pour ne pas en abuser ?
Le pouvoir des choses sur l'homme est plus propre que le pouvoir d'un homme sur un autre homme.
Tout homme à qui le pouvoir monte à la tête est toujours ridicule.
Le pouvoir, dans toute société, se partage entre la famille et l'État ; quand il en manque d'un côté, il en faut davantage de l'autre. Si le pouvoir public est faible, le pouvoir domestique doit être plus fort ; et c'était là l'état des sociétés anciennes.
Le pouvoir des nombres est d'autant plus respecté que l'on y comprend rien.
L'excès de pouvoir conduit à la tyrannie?