La liberté est un don de Dieu, et nul ne peut y porter atteinte sans s'exposer à sa colère.
La liberté, c'est le mouvement ; l'autorité, c'est l'immobilité.
Aimer la liberté, c'est aimer l'ordre qui en est à la fois la conséquence et la garantie.
La plus grande perfection de la liberté consiste à maîtriser ses propres passions.
La liberté est un si grand bien que chacun veut avoir la sienne, et un peu de celle d'autrui.
Toute atteinte à la liberté de l'amour est une protection accordée au vice. Quand on barre un fleuve, il déborde ; quand on comprime une passion, elle déraille.
La liberté fait le bonheur suprême.
Laisser à chacun de vivre comme il lui plaît, c'est le propre de la liberté.
Je suis pour la liberté de la presse comme pour toutes les libertés intellectuelles et morales. La presse fait plus de bien que de mal, elle est plus utile que nuisible.
La liberté n'a pas de plus mortelle ennemie qu'elle-même.
Liberté surveillée : Archétype d'anti-pléonasme.
La liberté totale est dans l'acceptation des contraintes.
La liberté est le plus grand de tous les biens.
La liberté ne peut nous affranchir ni de l'obéissance aux lois, ni des devoirs envers la société.
La liberté porte depuis quelque temps un gilet pare-balles qui la protège.
Quiconque ôte à un homme la liberté pour toute sa vie est digne de mort.
La liberté vient de la tyrannie, et la tyrannie de la liberté.
C'est ôter toute moralité à ses actions que d'ôter toute liberté à sa volonté.
Renoncer à sa liberté, c'est renoncer aux droits de l'humanité.
La liberté se fixe dans une nation quand elle forme pour ainsi dire l'instinct des masses et fait battre tous les cœurs.
Celui-là seul est digne de la liberté, qui sait la conquérir.
La liberté n'est, le plus souvent, pour l'homme que la faculté de choisir sa servitude.
Une liberté qui ne s'emploie qu'à nier la liberté doit être niée.
La liberté dans la vie sociale n'est que le degré d'indépendance individuelle compatible avec le bon ordre de l'ensemble, c'est-à-dire que c'est une quantité relative, qui peut aisément devenir zéro dans les moments de crainte générale, et qui n'atteint la valeur de 1 que si l'individu est tout seul, comme Robinson dans son île. Dès qu'il y a société la liberté de l'individu n'est que partielle et fragmentaire ; car elle est limitée par le droit de tous les autres individus. De plus elle est variable, car elle est proportionnelle à la quantité d'intelligence et de moralité de l'individu, quantité qui grandit avec l'âge, avec le travail personnel, avec l'éducation ; un enfant, un idiot, un mauvais drôle ne peuvent être laissés à eux-mêmes sans surveillance comme un adulte, un homme éclairé et un homme qui a fait ses preuves d'honnêteté.
Un voleur prêchant la liberté entend par là la suppression du gendarme et de la prison, qui gênent son industrie. Chacun entend, sous cette même appellation, l'abolition de ce qui le contrarie, que ce soit la croyance d'autrui, la richesse d'autrui, le talent d'autrui, l'existence d'autrui.
La liberté, c'est pour les êtres humains : Les forts comme les faibles, les heureux comme les tristes, les généreux comme les égoïstes, les humbles comme les fiers, les exaltés comme les dépressifs.
Ma liberté, c'est l'amour.
La liberté sera l'intelligence de l'homme de demain.
La liberté, c'est l'indifférence.
La véritable grandeur de la liberté, c'est qu'elle est le moyen sacré, divin, irremplaçable, donné par Dieu à la créature spirituelle pour être capable d'amour.
Le rire ??? C'est, d'abord, la liberté. Parce que, vraiment, je ne connais pas beaucoup de gens qui ont ri en prison.
La liberté sexuelle peut être un esclavage.
La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre.
La France est toujours la même. Semez-y de la liberté, il y poussera de l'arbitraire.
La liberté est à la paix ce que la victoire est à la guerre.
La liberté, c'est le droit d'avoir tort.
La liberté n'entrera profondément, en France, dans les idées et dans les mœurs qu'après que la centralisation aura cessé de créer une nation de fonctionnaires au milieu d'un peuple de contribuables.
Faudra-t-il donc toujours, en France, que la liberté paye pour les fautes du pouvoir ?
À quoi bon vivre sans amour et sans liberté !
L'humanité, hélas ! mon ami, est faite de telle façon que, donner la liberté aux uns, c'est l'enlever aux autres. Et l'on se demande s'il ne vaudrait pas mieux l'enlever à tout le monde.
La liberté est respectable, mais pourvu qu'elle ne nuise pas à la liberté d'autrui. Je dois vous laisser faire ce qui vous plaira, mais à la condition que rien de ce que vous ferez ne portera atteinte à ma liberté ; car alors en vertu même du droit de la liberté je me verrai obligé de réprimer les écarts de votre liberté, pour protéger la mienne et celle des autres. La société garantit la liberté de chacun, et si un citoyen attaque celle d'un autre, on l'arrête au nom de la liberté.
La sainte liberté consiste surtout à respecter le libre arbitre.
Si le bénéfice de la liberté n'était accordé qu'à ceux qui la méritent vraiment, il n'y aurait pas tellement d'hommes pour en jouir pleinement.
Le libre citoyen à part entière est celui qui respecte la liberté de ceux qui ont l'obligeance de respecter la sienne.
Que demanderait-on au monde ? Un peu d'argent et la liberté. Le malheur est qu'il ne peut pas vous donner ensemble l'un et l'autre, et que l'un est trop souvent le prix de l'autre.
Il faut accorder à la femme toute la liberté, toutes les libertés qu'exigent sa nature, son intelligence et ses facultés, une liberté si grande que les hommes, en qui elle n'admire, en général, que la force, seraient eux-mêmes, enfin, délivrés.
La liberté est au-dessus de toutes les richesses.
La liberté suit toujours le sort des lois, elle règne ou périt avec elles.
Le premier trésor de l'homme est la liberté.
La liberté n'a point d'autres bornes que l'honnêteté.
La liberté est le plus grand des biens et le fondement des autres.
La liberté est le droit que la nature a donné à tout homme de disposer de soi, à sa volonté.
De nos jours, la liberté des mœurs se règle un peu sur la liberté de la presse : quand l'une est prohibée, l'autre observe.
Le mot liberté est dans toutes les bouches, l'envie de dominer est dans tous les cœurs.
La vie est courte, et la liberté est le plus précieux des biens.
Il n'y a point de liberté sans lois.
La liberté de la conscience est un droit que tous les hommes ont reçu de la nature avec la vie.
Le respect de la liberté de l'homme fait le long règne de la femme.
La liberté ne dépend que des mœurs de l'amour de la justice et de l'ordre.
Le secret d'obtenir au moins une partie de la liberté d'un être, c'est de la lui laisser tout entière. La liberté veut être aliénée librement. La jalousie qui exige tout, n'obtient rien. La plus absurde des tyrannies est celle de vouloir se faire aimer par devoir, car tout despotisme enfante la liberté. Avis aux despotes en amour !
Où est la liberté, là est la patrie?