Il y a tant de femmes qui, le lendemain même du mariage, sont veuves du mari qu'elles s'étaient imaginées.
Jamais mari ne paya douaire.
Il est plus facile d'être amant que mari, par la raison qu'il est plus difficile d'avoir de l'esprit tous les jours que de dire de jolies choses de temps en temps.
Nous ne reprochons pas aux maris graves d'être cocus, nous leur reprochons d'être à la fois graves et cocus.
Un mari craint toujours que son épouse le quitte , c'est ça la suprême force des femmes : Vous faire redouter ce que vous souhaitez le plus au monde.
Un mari sans respect pour sa femme est semblable au prodigue qui dissipe sa fortune.
Un mari vaut toujours mieux que ces petits messieurs qui ne savent que roucouler.
On m'a soutenu que toutes les femmes que je connais ont ou ont eu des amants. - Eh bien ! ai-je répondu, c'est la seule manière de savoir si on préfère son mari. Ce serait très humiliant de n'avoir jamais inspiré dans sa vie une passion extra-légale !
Les maris doivent aimer leurs femmes comme leur propre corps.
Un mari, c'est un meuble ! pas autre chose !
Une vertu de grande conséquence, et qui vaut de l'or pour les maris : la patience !
D'un mari les volages ardeurs n'autorisent jamais les travers d'une femme.
Un amant exceptionnel ne peut faire qu'un mauvais mari.
Un sot mari n'est conduit que par ses passions et par le caprice, il est incapable d'entendre la voix de la raison. Non seulement l'amour-propre est continuellement mortifié d'avoir un mari pour lequel on est toujours dans la crainte et souvent dans la confusion, dès qu'il ouvre la bouche en compagnie ; mais un inconvénient plus grand encore, c'est qu'un sot passe sa vie à craindre qu'on ne pense que sa femme le gouverne. Il devient par-là impossible de le conduire, et il fait cent choses absurdes et désagréables pour elle, par la seule envie de montrer qu'il est le maître de le faire.
L'âme doit recevoir l'amour divin comme la femme reçoit l'amour de son mari.
Les maris sont des pères de famille, et non pas des maîtres.
Les homosexuels seraient les meilleurs maris du monde, s'ils ne jouaient pas la comédie d'aimer les femmes.
Mari jaloux, femme en courroux, ferme sur nous grille et verrous.
La vraie façon d'aimer son mari, c'est de l'aimer pour lui.
Il ne sied point à une honnête femme de plaire à d'autres qu'à son mari.
Quand on est mari et jaloux, la jalousie ne cesse point avec la passion qui l'a fait naître.
De tous les fardeaux le plus insupportable est une femme qui se croit tout permis parce qu'elle apporte une dot à son mari.
Les veuves les plus à plaindre sont celles qui le sont du vivant de leurs maris.
Amants trompeurs, maris trompés : partie et revanche.
Un mari ne doit jamais s'endormir le premier, ni se réveiller le dernier.
Un mari glorieux ne fait pas nécessairement un mari aimable.
Un mari de talent ne suppose jamais ouvertement que sa femme a un amant.
Quand le mari et l'amant ne font qu'un, tout va bien.
Le mari est la tête, la femme est l'âme de la maison?