Je n'aime que les femmes qui sont jeunes et jolies, et qui cherchent le plaisir.
Ne cherche pas en toi-même une excuse à la faute dont tu t'es rendu coupable.
Heureux ceux qui vivent ignorés, loin du bruit des villes, des passions brûlantes et insensées !
L'âme a, comme le corps, ses défaillances, ses fièvres, ses maladies, sa convalescence.
Les amours s'enfuient vite sur l'aile du temps et ne laissent que des souvenirs mêlés d'amers regrets.
Je t'aime avec passion.
Le cœur, comme l'intelligence, a besoin d'enseignements. — On ne devient pas bon naturellement, il faut apprendre à l'être. — Sans cette éducation première, on n'a que des élans. — La continuité, la solidité, la force manquent pour soutenir ces mouvements généreux. Il faut pouvoir s'appuyer sur des principes déjà établis pour être constamment juste et n'avoir aucune de ces défaillances inhérentes à notre nature.
L'amour devrait être l'étoffe sérieuse sur laquelle on broderait sa vie. C'est le fonds dont toute chose se compose. — Nous aimons en naissant notre mère, nos sœurs ; plus tard, une femme. — C'est donc un sentiment qui nous prend au berceau et nous conduit à la tombe pour s'épurer, sans doute, dans le sein de Dieu.
Le bonheur est fragile quand on le place sur l'amour !
Chez certains hommes leur cœur est plus léger que le vent !
Les amants passionnés de la veille sont bien souvent les indifférents du lendemain.
Deux choses servent mieux les femmes que le plus grand génie et la plus vaste intelligence, c'est la grâce de leur sourire et le rayonnement de leur beauté.
Il y a par tous pays des hommes qui sont nés pour écumer le pot.
La beauté est un don fatal qui semble n'exister qu'aux dépens de tous les nobles attributs de l'âme et de l'esprit. Une femme belle est presque toujours une femme vaine, légère, coquette et dissipée. Quand donc les hommes ne s'attacheront-ils qu'au moral ? Quand donc placeront-ils au premier rang, non d'incertains et douteux avantages physiques, mais un caractère mâle et un cœur régulier ? La beauté ! la beauté ! chose inutile qui n'a apporté dans le monde que des malheurs, tandis que la vertu et l'héroïsme dans le cœur des femmes ont sauvé des empires !
Corsaires contre corsaires ne font pas leurs affaires.
Aujourd'hui le bon sens est devenu presque aussi rare que le génie.
L'homme, aux yeux de certaines femmes, ne représente qu'une certaine somme d'argent, c'est-à-dire de bien-être. Quand elles se marient, elles n'épousent pas un homme, elles épousent une fortune.
La France est un vieux pays qui n'a que de vieilles routines, de vieilles idées et de vieilles mœurs.
La femme en tout est l'égale de l'homme ; elle a les mêmes besoins, les mêmes aspirations : elle doit avoir les mêmes droits que lui. Lisez l'histoire ! et voyez combien de grands noms de femmes y figurent glorieusement ! Et pourtant la position qu'on nous a faite jusqu'ici a été sans cesse inférieure ! Mais qu'on nous accorde une liberté complète ; que pour nous, comme pour les hommes, soient ouvertes toutes les voies professionnelles, législatives et politiques. Que le divorce ne soit plus entouré de conditions qui le rendent quelquefois impossible ; ou mieux, que le mariage, ce reste de la servitude, soit aboli ; que l'amour, ce mot menteur qui cache une chaîne, soit remplacé par le libre choix des femmes... et alors, seulement alors, le monde, débarrassé de ses langes, sera devenu adulte ; alors le progrès, qui n'a marché jusqu'ici qu'à pas de tortue, aura les ailes de la vapeur et de l'électricité ; alors la civilisation sera en bon chemin, car l'influence de la femme sera générale et son règne universel !
Il n'y a point de règle sans exception.
Les femmes sont les mêmes par tous pays ; elles aiment qu'on s'occupe d'elles, qu'on les flatte et qu'on ait l'air non seulement de penser ce qu'on leur dit d'aimable, mais aussi d'y prendre le plus vif plaisir.
Les choses raccommodées se cassent toujours au même endroit.
Je t'aime, non pas comme un fou, mais comme un homme sage qui a découvert un trésor.