De bonnes mœurs seront toujours une puissante recommandation.
L'homme n'est libre que par ses mœurs.
Les époques morales sont celles où l'on aime : plus d'amour, plus de mœurs !
La fortune ne change pas les mœurs, elle les démasque.
Le langage est le reflet des mœurs.
Il ne faut pas faire par les lois ce que l'on peut faire par les mœurs.
La licence est contraire au respect et à la modération, elle signifie dérèglement dans les mœurs.
Le peuple français est le seul peuple qui puisse perdre ses mœurs sans se corrompre.
Quand l'oreille d'une femme peut tout entendre, c'en est fait de ses mœurs.
Assez et trop longtemps on a fait des lois sans faire de mœurs : essayons donc enfin de faire des mœurs sans faire de lois !
Les mœurs doivent toujours être les préludes des lois.
Les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs.
Les idées de la veille font les mœurs du lendemain.
De chacun en silence observe le langage, car le discours des mœurs est la parfaite image.
Les honneurs ne changent les mœurs que de ceux qui n'en étaient pas dignes.
Autant les lois sont fortes avec les mœurs, autant les lois sont faibles contre les mœurs.
Se plaindre du grand nombre d'hypocrites, c'est faire l'éloge des mœurs.
La franchise, de nos jours, est aussi loin de nos mœurs que les vertugadins le sont de nos modes.
Il n'est point de mœurs sans l'habitude du respect ; il n'est point de respect sans humilité.
Les lois et les mœurs ont toujours été dures et cruelles aux malheureux.
Que notre vie se maintienne entre les bonnes mœurs et la coutume.
La gaieté orne la raison, elle adoucit les mœurs.
Quand les mœurs sont pures et innocentes dans le premier âge, la vieillesse est douce et tranquille.
Les hommes préfèrent se distinguer par les ornements de la vanité que par la beauté des mœurs.
Les mœurs font toujours de meilleurs citoyens que les lois.
On prend les mœurs de ceux avec qui l'on vit.
Il faut se rendre respectable par sa vertu et par sa suffisance, et aimable par sa bonté et douceur de ses mœurs.
Les bonnes mœurs, pour se maintenir, ont besoin de lois ; les lois pour être observées, ont besoin de bonnes mœurs.
Il n'est point de signe extérieur de politesse qui ne tire son origine des mœurs ; la meilleure éducation, sous ce rapport, serait donc celle qui enseignerait en même temps et les signes et leur origine.
Les mœurs sont l'hypocrisie des nations, l'hypocrisie est plus ou moins perfectionnée.
À défaut de l'originalité de l'esprit, on arbore celle des mœurs.
La religion sans mœurs fait un hypocrite ; les mœurs sans religion font le philosophe.
On est quelquefois d'autant plus civil que les mœurs sont moins honnêtes.
On ne change pas de mœurs et de tempérament à tout âge, quand on n'a jamais eu d'autre règle que ses propres caprices.
On recueille, suivant ses mœurs, l'amitié, l'amour ou la haine.
D'une bonne pensée sortent les bonnes mœurs.
De bonnes mœurs font plus d'effet là-bas, qu'ailleurs de bonnes lois.
Aux changements des temps, il faut plier nos moeurs.
L'exercice de l'hospitalité suppose des mœurs simples et douces.
L'homme qui aspire à commander à des hommes libres, doit joindre à la puissance de la parole des mœurs irréprochables.
Les bonnes mœurs portent de bons fruits.
En Europe, les femmes valent mieux que les mœurs ; en Orient, c'est tout le contraire.