La fierté du caractère, comme la noblesse des instincts, et la générosité du cœur et de la main, sied à la jeunesse, pare l'homme fait, décore l'homme libre. La fierté s'incline volontiers devant la supériorité, devant la vertu, le mérite, l'autorité, mais elle refuse son hommage à la force, à l'hypocrisie, à l'apparence et à l'usurpation en tout genre.