Les citations orientales.
1 — Notre citation orientale favorite :
Le plus grand avantage qu'on puisse procurer à des enfants c'est de les bien élever, dit une sentence orientale. Dans le dictionnaire des maximes et sentences orientales publié en 1811, il est écrit :
Le véritable ami est celui qui ne souhaite pas à son ami ce qu'il ne désire pas pour lui-même, et qui n'ambitionne pas non plus ce que désire celui-ci.
2 — Découvrez 65 citations, pensées et sentences orientales :
Si tu es dans l'aisance et l'opulence, sois généreux avec les plus démunis. Et si un pauvre a soif et faim, partage avec lui ton vin et ton pain. Le Tout-Puissant aime les gens qui ont bon cœur et qui aident leur prochain.
Les apologues et contes orientaux (1784) Le monde est un ami perfide, un compagnon infidèle ; évite avec soin ses caresses trompeuses, et si tu ne peux le corriger, au moins ne l'imite pas dans ses penchants corrompus.
Les apologues et contes orientaux (1784) Insensé, tu te pavanes aujourd'hui avec complaisance, sous les plis orgueilleux de ta robe ondoyante, et tu ne songes pas que demain, dépouillé de tout ce vain attirail de grandeur, le vent dispersera au loin ta poussière impuissante.
Les apologues et contes orientaux (1784) Défie-toi du noble que tu auras méprisé, du sot avec qui tu auras joué, du savant que tu auras attaqué, du méchant avec qui tu auras lié amitié.
Les maximes et sentences orientales (1811) Garde-toi, mon frère, de te réjouir, lorsque tu passes sur la tombe de ton ennemi. Jette plutôt un regard pensif et silencieux sur la tombe qui s'entrouvre déjà pour te recevoir.
Les maximes et sentences orientales (1811) L'homme instruit et assisté de la grâce puise des sujets d'exemple et d'élévation dans les paroles même de l'ignorant.
Les maximes et sentences orientales (1811) La générosité consiste à charger sur ses épaules et à porter soi-même le fardeau d'un pauvre diable, à le débarrasser de sa peine ; c'est prendre sur soi, et avec joie, le poids des adversités d'autrui, ne pas divulguer cette bonne action, et n'imposer, en retour, nulle obligation à qui en est l'objet.
Les moralistes orientaux (1866) Donner seulement quand on a demandé, c'est rester loin de la libéralité ; mieux vaut ne pas donner que donner en cédant à l'importunité. L'homme vraiment libéral est celui qui coupe son pain en deux pour en donner la moitié au pauvre affamé ; plus libéral encore est celui qui, se privant lui-même, donne son pain tout entier aux nécessiteux.
Les moralistes orientaux (1866) Comme le nuage, l'homme libéral donne tout, contenu et contenant ; tandis que l'avare, comme la fourmi, songe à recueillir un fétu, le moindre grain. L'homme libéral n'est point abaissé par la perte de sa fortune ; tandis que l'avare, trouvât-il des trésors, ne sera jamais l'égal des princes.
Les moralistes orientaux (1866) La libéralité est l'arbre fécond du jardin de l'humanité, et le fruit le plus doux de cet arbre même ; c'est la pierre précieuse de l'océan de la nature humaine. L'homme qui n'est pas libéral est comparable au nuage du printemps sans pluie, au musc de Tartarie sans parfum, à l'arbre sans fruit, à l'huître sans perle.
Les moralistes orientaux (1866) La bienfaisance est le principe de la félicité éternelle, la digue puissante opposée aux plus grands malheurs, le plus bel arbre du verger de l'humanité ; elle est la mère de toutes les qualités, de toutes les vertus ; elle les comporte toutes.
Les moralistes orientaux (1866) Qui se loue est un sot ; qui se pare est un fat.
Les moralistes orientaux (1866) Quiconque, dans l'adversité, a fait preuve de patience et de résignation, a vu le sort convertir en miel ses amertumes, en roses ses épines.
Les moralistes orientaux (1866) Ton ennemi naturel deviendra ton ami le jour seulement où l'eau cessera d'éteindre le feu et le vent de chasser la poussière.
Les maximes et sentences orientales (1811) Ne prends jamais pour ami un pauvre ignorant ; n'éteins pas avec le vide de ses frivolités le flambeau de ton intelligence. D'un sage ennemi on peut tirer profit, mais d'un sot ami on ne doit attendre que des désavantages et des mésaventures !
Les maximes et sentences orientales (1811) Entre Satan et l'homme il existe une inimitié naturelle et instinctive : l'un a été créé de feu, l'autre de terre ; si le premier élément a le dessus, il réduira l'autre en cendres ; si c'est le second, il étouffera le feu. N'oublie pas l'inimitié de Satan contre Adam ; ne prends pas pour ami celui qui fut l'ennemi du premier homme créé par Dieu.
Les maximes et sentences orientales (1811) La douceur est le verger de l'humanité, la montagne de diamant de l'espèce humaine, l'ancre de salut dans la mer des événements, le contrepoids de la balance de l'humanité. Des qualités humaines c'est la plus précieuse ; la douceur porte les hommes à s'honorer et à se respecter mutuellement ; elle engage les grands à avoir de la bienveillance et de la bonté pour les petits.
Les maximes et sentences orientales (1811) L'amour est un astre lumineux qui éclaire et rassérène l'œil de l'homme ; c'est un diamant brillant qui pare et embellit la couronne de l'humanité ; c'est le soleil levant qui ranime le buisson des tristes pensers, la lune resplendissante qui illumine la couche des cœurs attristés, le vaste océan où s'engloutissent de nombreuses intelligences, la flamme dévorante qui réduit en poussière bien des cœurs, l'éclair éblouissant qui a foudroyé bien des amants, le dragon jaloux qui veut dévorer le monde.
Les maximes et sentences orientales (1811) Le bourdonnement de la guêpe fait penser à son aiguillon, la vue du miel à sa saveur.
Les maximes et sentences orientales (1811) La toilette ne fait pas l'homme, ni la fleur le papillon.
Les maximes et sentences orientales (1811) La parole vraie n'a pas besoin d'ornement ; la parole vraie est sans apprêts ; elle n'a pas à s'inquiéter de sa simplicité ; qu'importe à la rose la déchirure de son vêtement, à la perle la forme défectueuse de sa coquille ?
Les maximes et sentences orientales (1811) Ne fais pas de la vérité le mensonge ; n'emploie pas pour le mensonge la langue faite pour dire la vérité.
Les apologues et contes orientaux (1784) Qui dit menteur, dit homme oublieux, s'écartant du chemin de la réflexion et de la prudence.
Les apologues et contes orientaux (1784) Parmi les différentes sortes de paroles le mensonge est la pire de toutes. Plaise à Dieu que l'homme qui passe son temps à débiter des mensonges ne trouve pas d'auditeurs disposés à les accueillir comme vérités, et à lui permettre ainsi d'atteindre son but !
Les apologues et contes orientaux (1784) Le diseur de frivolités est semblable au chien qui aboie jusqu'au matin.
Les apologues et contes orientaux (1784) Tout juge indigne, qui se laisse corrompre, sape les fondements de la loi.
Les apologues et contes orientaux (1784) La vie de l'homme est un chemin qui tend à la mort.
Les apologues et contes orientaux (1784) Ne méprisez pas Dieu en jurant par son nom afin qu'il ne vous méprise pas.
Les maximes et sentences orientales (1811) L'homme brute est sentimental comme une poignée d'orties.
Les apologues et contes orientaux (1784) Le vieillard qui se teint la barbe, et le jeune homme qui se baigne dans l'eau de rose, sont tous deux ridicules.
Les maximes et sentences orientales (1811) Les ennemis les plus dangereux sont ceux qui cachent leurs desseins.
Les maximes et sentences orientales (1811) Le vieillard faisant le jeune homme, et jeune homme faisant le vieillard, manquent, l'un de pudeur, l'autre de raison.
Les maximes et sentences orientales (1811) Les plaintes sont les armes des faibles.
Les maximes et sentences orientales (1811) Toutes choses sont difficiles avant que d'être faciles.
Les apologues et contes orientaux (1784) La colère commence par la folie, et finit par le repentir.
Les apologues et contes orientaux (1784) Le frère qui cherche ses commodités au préjudice de son frère, n'est ni frère ni parent.
Les apologues et contes orientaux (1784) Le plus grand avantage qu'on puisse procurer à des enfants, c'est de les bien élever.
Les apologues et contes orientaux (1784) Les plus grands malheurs sont causés par la langue.
Les apologues et contes orientaux (1784) Le peu de paroles est la marque d'une sagesse parfaite.
Les apologues et contes orientaux (1784) La langue du sage est derrière son cœur, et le cœur de l'insensé derrière sa langue.
Les apologues et contes orientaux (1784) Jamais on n'a de mauvais succès, quand on connaît bien de quoi on est capable.
Les apologues et contes orientaux (1784) La marque d'une grande âme est d'avoir pitié de son ennemi lorsqu'il est malheureux.
Les apologues et contes orientaux (1784) La preuve d'une méchante cause est de proférer des injures contre sa partie.
Les apologues et contes orientaux (1784) Une des lois de l'amitié est de n'être pas importune.
Les apologues et contes orientaux (1784) Qui n'a pas d'éducation ressemble à un corps sans âme.
Les apologues et contes orientaux (1784) Si vous voulez que votre mérite soit connu, reconnaissez le mérite des autres.
Les apologues et contes orientaux (1784) Mieux vaut garder son secret soi-même que de le confier à la garde d'un autre.
Les apologues et contes orientaux (1784) La pensée au mal tire son origine de l'oisiveté.
Les maximes et sentences orientales (1811) Six choses en ce monde vont de pair : les richesses et la vanité, les passions et les malheurs, les femmes et les chagrins.
Les maximes et sentences orientales (1811) Les largesses des ignorants ressemblent à de belles fleurs plantées sur un fumier.
Les maximes et sentences orientales (1811) On vient à bout de ses desseins par la patience.
Les maximes et sentences orientales (1811) La vie d'un tyran n'est pas de longue durée.
Les maximes et sentences orientales (1811) Le plus souvent, qui veut tromper les autres, se trouve trompé lui-même.
Les apologues et contes orientaux (1784) Le cœur de l'homme ingrat est semblable à un désert qui boit avidement la pluie tombée du ciel, l'engloutit et ne produit rien.
Les maximes et sentences orientales (1811) Que ta candeur soit nette et pure comme les premiers rayons de l'aurore.
Les maximes et sentences orientales (1811) L'amour des femmes tue la sagesse.
Les maximes et sentences orientales (1811) Que celui qui ne sait pas se donner d'occupation prenne une femme.
Les maximes et sentences orientales (1811) La science est la mère de la renommée.
Les maximes et sentences orientales (1811) Si tu vis dans le monde, tu connaîtras ce que c'est que le fantôme d'un songe.
Les maximes et sentences orientales (1811) Rarement a de l'esprit celui qui a le ventre plus gras que la tête.
Les maximes et sentences orientales (1811) Une bonne réputation fait la moitié de la fortune de l'homme.
Les maximes et sentences orientales (1811) Cache tes secrets dans les replis les plus profonds de ton cœur.
Les maximes et sentences orientales (1811) L'apparence des femmes est aussi trompeuse que le reflet des objets sur la surface de l'eau.
Les apologues et contes orientaux (1784) La fortune est une femme coquette et fantasque qui veut être brusquée par ses amants.
Les apologues et contes orientaux (1784) La franchise est le lien de l'amitié.
Les maximes et sentences orientales (1811)
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