Chers enfants, vos parents ont des défauts comme tout le monde, oubliez-les ; ils ont de l'humeur, attendez le retour de leur tendresse ; ils vous parlent avec sécheresse, pardonnez-le à leur âge. Le contentement prolonge la vie, rendez-les contents. Est-il pour un enfant un spectacle plus doux que le sourire de la reconnaissance sur les lèvres d'un père ou d'une mère ? Honorez toujours vos parents.
Chers enfants, vos parents ont été vos maîtres, il faut qu'ils restent vos guides.
Les parents ne songent pas assez à ce qu'une parole imprudente lâchée devant un enfant peut avoir de fâcheuse répercussion par la suite.
Le ménage moderne est supérieur à l'être humain puisque sa décomposition n'est jamais définitive, qui débouche statistiquement deux fois sur trois sur ces familles recomposées où les enfants ont autant de pères que la maison de leur mère compte de divans.
Le grand crime des parents actuels est qu'ils n'embêtent plus leurs enfants : Ils sont devenus faciles. Ils sont devenus légers. Ils sont devenus distraits. De là toutes les bêtises et toutes les folies de la jeunesse.
L'armée la plus invincible est celle où les pères pensent le plus souvent à leurs enfants, les fils à leurs parents, et les frères à leurs frères.
Les enfants héritent quelquefois des qualités des parents, presque toujours de leurs défauts.
L'Émancipation est un bien que tous les parents devraient ambitionner de laisser, en mourant, à leurs enfants, comme le trésor le plus réel et le plus précieux, comme un anneau magique et préservateur qui peut tenir lieu de tout, mais que rien ne peut remplacer !
La mère doit à ses enfants son lait et les soins assidus et le dévouement infatigable d'où dépend leur conservation dans les premières années. Le père doit à ses enfants, avec sa tendresse et sa protection vigilante, le pain et le vêtement, le père doit pourvoir à tous leurs besoins jusqu'à ce qu'ils puissent y pourvoir eux-mêmes.
Parents, quand vos enfants auront reçu de vous la nourriture du corps, ne croyez pas avoir rempli tous vos devoirs envers eux. Vous avez à en faire des hommes, et qu'est-ce que l'homme, si ce n'est un être moral et intelligent ? Qu'ils apprennent donc de vous à discerner le bien du mal, à aimer l'un et à l'accomplir, à fuir l'autre et à le détester.
Tels parents, tels enfants, toujours ! Lorsqu'il y a une exception à cette règle, l'exception n'est qu'apparente ; c'est que l'on a mal observé !
Les parents passent leur vie à contempler leur enfant comme une plante en pot.
Les enfants ont plus besoin de modèles que de critiques.
Les enfants n'obéissent aux parents que lorsqu'ils voient les parents obéir à la règle.
Les parents ont une petite tendance à oublier qu'ils ont été enfants eux-mêmes.
Les parents sont parfois les enfants, mais toujours les enfants font les parents.
S'il y a des parents qui ont plus de bonheur avec leurs enfants, c'est qu'il y a des enfants mieux élevés que d'autres.
L'obéissance à ses parents est le premier devoir de tout enfant.
Avant d'éduquer un enfant, il faudrait déjà reprendre l'éducation des parents.
S'il est dans le cœur de l'homme un sentiment désintéressé, c'est l'amour paternel. Notre tendresse pour nos enfants est indépendante de la réflexion ; nous les aimons, parce qu'ils sont nos enfants : leur existence fait partie de la nôtre, et elle est même bien plus que la nôtre.
Nous ne nous rappelons le respect que l'on doit aux parents que pour l'exiger de nos enfants.
Un enfant sans parent est toujours un enfant triste.
Les enfants bien élevés doivent à leurs parents le bonheur dont ils jouissent.
Rien ne peut dispenser des enfants bien nés de l'obéissance et du respect qui sont dus aux parents.
Des enfants qui n'ont plus de parents ressemblent à des arbres sans feuilles.
Les parents doivent thésauriser pour leurs enfants, et non les enfants pour leurs parents.
L'amour porte à imiter ceux qu'on aime, c'est la loi qu'observe l'enfant ; dès qu'il a pu rendre à ses parents leurs sourires, il se met à imiter leurs gestes, à balbutier leur langue, à singer leurs habitudes bonnes ou mauvaises.
L'expérience des parents doit être la leçon des enfants.
Honorez, chérissez la vieillesse, vos enfants vous rendront un jour le respect et les tendres soins que vous aurez eus pour vos parents.
La bonne éducation des parents fait presque toujours la bonne éducation des enfants.
Si les liens qui unissent l'enfant à son père et à sa mère parfois se relâchent, ils ne se brisent jamais.
J'ai eu beaucoup de chance, mes parents n'avaient qu'un but : ne pas traumatiser leurs enfants.
Dès que nos enfants ont des enfants, ils se mettent à nous comprendre.
Il est bon pour l'enfant d'avoir ses deux parents, chacun le protégeant de l'autre !
Cultivez dès le plus jeune âge et développez en vos enfants les instincts élevés de notre nature, sur lesquels se fonde l'existence sociale, le sentiment de la justice et de l'ordre, de la commisération et de la charité. L'enseignement donné sur les genoux d'une mère et les leçons paternelles, confondus avec les souvenirs pieux et doux du foyer domestique, ne s'effacent jamais de l'âme entièrement.
L'ingratitude des enfants envers les pères et mères mérite châtiment.
Attendez-vous à être traité par vos enfants comme vous aurez traité vos parents.
Quand une mère et un père enseignent à leurs enfants, tout petits encore, à s'aimer et à s'aider l'un l'autre, à réprimer leurs caprices ou leur mauvaise humeur, à se montrer obéissants et dociles, ces sages leçons épargnent aux parents bien des chagrins par la suite.
Aucun parent ne vit la vie de ses enfants, mais cela ne nous empêche pas de nous inquiéter.
Il n'y a plus d'enfants ! il le faut bien, puisqu'il n'y a plus de parents.
Il n'y a plus beaucoup de parents, de nos jours, qui accordent un tant soit peu d'importance à ce que disent leurs enfants ; le traditionnel respect envers les jeunes est en train de se perdre.
De bons parents n'ont pas d'enfants ingrats.
La malheureuse et pitoyable faiblesse des parents qui, dans la folle tendresse qu'ils ont pour leurs enfants, dissimulent, détournent la vue pour ne pas apercevoir les fautes les plus grandes, se retirent même et disparaissent, pour avoir un prétexte de ne rien voir et de ne rien dire, est criminelle. Si quelquefois ils se croient obligés de les reprendre de leurs désordres devenus trop grands ou trop publics, c'est avec une faiblesse qui ne remédie à rien, qui augmente même le mal, et rend les enfants plus effrontés ou vicieux.
Les enfants commencent par aimer leurs parents, plus tard ils les jugent, quelquefois ils leur pardonnent.
Il n'y a pas d'enfants sots : il n'y a que de sots parents.
Quand on n'a plus d'enfants, un coin suffit pour mourir.
Les parents voient leurs enfants, jamais leurs âmes.
Enfants, obéissez en tout à vos parents, c'est cela qui est beau dans le Seigneur.
Parents, n'exaspérez pas vos enfants de peur qu'ils ne se découragent.
Tel arbre, tel fruit.
L'enfant à qui ses parents n'ont pas souri n'est digne de la table d'un dieu.
Malheur aux enfants qui ne savent pas honorer, dans les auteurs de leurs jours, une tendresse qui se blesse elle-même par ses refus !
Rancune de parents ne dure pas longtemps?