Le lycée français attache bien chacun à sa petite personne. À nos collégiens, au contraire, on impose un moule commun. Il se produit en série des bons garçons, qui n'ajoutent à la société que leur nombre. Par contraste, ici, les esprits fortement doués qui réagissent, s'affirment plus qu'en France, où il est parfois difficile de distinguer de prime abord l'homme vraiment indépendant et l'imbécile individualiste.