Le sentiment d'amour pense à demain, pousse à construire, à faire des projets, il a besoin de s'appuyer sur l'amour de l’autre. Il réclame une réciprocité.
L'amour est le plus matinal de nos sentiments.
L'amour est un échange intense de sensations et de sentiments.
L'amour est un sentiment aveugle qui ne suppose pas toujours du mérite dans son objet.
L'amour est un sentiment si fort qu'il permet d'oublier toutes les raisons qu'on aurait de ne pas aimer.
Si l'amour est le plus délicieux sentiment qui puisse entrer dans le cœur humain, tout ce qui le prolonge et le fixe, même au prix de mille douleurs, est encore un bien.
Tu es ce qui éveille en moi le sentiment d'amour, puisque tu peux l'éveiller c'est que tu peux le combler, puisque tu peux le combler c'est que tu dois le combler, tu es le complément en moi du verbe aimer, le complément d'objet direct de moi, j'aime qui, j'aime toi, tu es le complément de tout.
À nous deux la vie d'amour, à moi ton cœur, trésor de sentiment !
Le cœur est le siège du sentiment, de la conscience et de l'amour.
L'avenir réserve encore à l'homme la plus belle des conquêtes morales : l'amour. Quand la femme ne sera plus seulement par manière de dire, mais véritablement et selon l'esprit, la moitié de l'homme, le sentiment de l'amour, qui n'a encore été que volupté plus ou moins raffinée ou passion plus ou moins chimérique, deviendra, dans sa constance et sa plénitude, l'harmonie suprême de la vie humaine.
L'amour, dites-vous, est un sentiment passager. Quelle erreur est la vôtre ! De toutes les passions qui animent le cœur humain il n'en est point à qui une plus longue durée soit nécessaire. Il faut, pour qu'il arrive à cette perfection, qui seule peut remplir l'âme tout entière, qu'il ait traversé mille épreuves : la présence et l'absence, la santé et la maladie, la prospérité et l'infortune, le monde et la solitude, la faute même et le mutuel pardon. Il lui faut enfin la consécration suprême de la fécondité. Une telle passion ne se produit point dans les froides régions où vous végétez. Vous en concluez qu'elle n'existe pas ; moi je conclus seulement que c'est vous qui n'existez pas.
L'amour basé sur de petits sentiments est impitoyable.
Nature est une bonne mère, elle sait mieux que les parents, quel choix un jeune coeur doit faire, ne forçons point les sentiments.
L'amour serait un sentiment beaucoup plus admirable si tous les êtres humains ne tombaient pas amoureux. Et souvent plusieurs fois.
L'amour complet unit la fidélité du désir à la durée du sentiment.
L'amour que l'on a pour une femme ne va pas sans un sentiment de respect.
L'amour est un sentiment tenace que rien ne saurait menacer.
Amour, jalousie, haine, indifférence, composent des ballets bien réglés qui sont nos vies sentimentales.
Les grands sentiments sont universels : Amour, tendresse, affection.
Enfantines amours, premières lueurs de ce feu qui, plus tard, pénètre, étreint, embrase ! Que de charme, que de riant et pur éclat, dans ces innocentes prémices d'un sentiment si fécond en orages !
L'amour n'est pas toujours un sentiment uni.
Les sentiments purs et délicats de l'amour, lorsqu'ils s'évanouissent, ne renaissent plus ; ils sont comme le duvet effacé des fleurs, que le printemps et la rosée ne sauraient reproduire une seconde fois.
Il est toujours difficile d'avouer son amour à une femme dont on ignore les sentiments.
Les vrais pressentiments sont un don de l'amour.
De tous les sentiments qu'inspire la nature, l'amour est le plus beau quand la vertu l'épure.
L'amour est plutôt le dieu des sensations que des sentiments.
L'affection est un sentiment fade, c'est l'amour des gens tièdes.
Les sentiments ne se commandent point : n'ordonnez rien ; l'amour fuit l'esclavage.
L'amour est un sentiment friable, poreux, comme tous les sentiments.
L'amour exige qu'on le flatte, les faveurs sont ses aliments, mais l'amitié, plus délicate, vit de la fleur des sentiments.
L'amour est un creuset où tous les autres sentiments s'épurent.
À tous mes sentiments ton image se mêle, elle inspire mes vers les plus harmonieux, me donne le désir de te paraître belle, et d'avoir chaque jour quelque grâce nouvelle, pour que tu m'aimes mieux.