On ne doit attendre des soins et des attentions que de ses véritables amis.
Si vous voulez être aimé pour vous-même, ne chargez pas les autres de ce soin.
Les petits soins habituels, les attentions de tous les jours, forment et consolident les amitiés plus qu'un grand acte de dévouement une fois accompli.
L'enfance est l'âge qui demande de la part des parents le plus de prudence et le plus de soin. Ils prennent les goûts et les mœurs de ceux avec qui ils vivent.
Tous les soins d'une femme ont un charme si doux !
Les pédagogues ont fait une science des soins nécessaires à l'enfance ; pour les égards dus à la vieillesse, les leçons du cœur suffisent.
On s'attache de plus en plus à la personne que l'on aime, par l'amour même qu'on lui prodigue, par les soins, par le dévouement dont on l'entoure, par les sacrifices mêmes qu'on lui fait. C'est ainsi que l'amour rapporte l'amour.
Lorsqu'on est aimé, on se sent en quelque sorte responsable de soi-même. On a soin de sa santé, de sa vie, de son bonheur, pour un autre à qui l'on se doit, et qui vous rattache à vous-même.
L’éducation d'un enfant demande le plus grand soin parce qu'elle influe sur toute sa vie.
Les femmes sont plus touchées et plus reconnaissantes des petits soins que d'un grand service rendu.
Les soins apportés chaque jour par l'homme à sa petite personne constituent le début du narcissisme.
Pour vivre, tout a besoin d'amour et de soins l'homme, le nid, la plante, la vertu.
Les fats sont les seuls hommes qui aient soin d'eux-mêmes. Or, avoir trop soin de soi, n'est-ce pas dire qu'on soigne en soi-même le bien d'autrui ?
Les soins d'autrui se règlent sur les nôtres : On ne peut être aimé si l'on n'aime les autres.
Sans un soin continuel on peut perdre des affections qu'on croyait solides.
Notre corps est l'ouvrier dont notre esprit n'est que le patron, le corps a droit à la nourriture, au sommeil, aux ménagements et aux délassements, aux soins continus pendant les belles années et même à la retraite quand il est devenu invalide.
Le corps, le cœur et l'âme ont besoin d'égards, de défense et de soin.
Une belle âme a toujours la même douceur patiente et le même soin à s'occuper d'autrui.
La femme aimante ressemble aux médecins de Molière. Elle veut qu'on se porte bien selon Hippocrate, c'est-à-dire selon sa méthode et par ses soins exclusifs à elle.
Il n'en est pas des soins spirituels comme des corporels : En ceux-ci les épines durent et les roses passent ; en ceux-là les épines passeront, et les roses dureront.
Soyez de ceux qui s'aiment eux-mêmes. Votre corps a besoin d'amour et de soins.
Mon corps est moi-même, et j'en veux prendre soin.
Un enfant, même en dormant, connaît sa mère ; il en reçoit, sans s'éveiller, les soins et les baisers.
Qui néglige de donner des soins convenables à sa santé se prépare le plus grand des malheurs, une vieillesse infirme. Qui s'en occupe trop affaiblit son corps, rétrécit son esprit et s'endurcit le cœur.
Les soins de nos proches versent du baume sur nos maux les plus cruels.
La femme revêtue de beauté est, comme l'héritier d'un nom illustre, obligée à beaucoup de vertu ; c'est un dépôt sacré duquel elle doit compte au monde qui l'observe. Le soin d'une jeune fille à se dérober aux regards curieux, la rougeur qu'une parole indiscrète fait monter à ses joues, relèvent d'autant plus ses charmes qu'elle s'efforce de cacher son trouble.
L'amour conjugal est une affection où l'homme et la femme, unis d'âme et de corps, apportent en communauté chacun sa part de force, de travail et de soins.
En perdant l'espoir de plaire, on en perd bientôt le soin.
De l'émail de tes dents prends soin tous les matins ; que l'eau coule à foison pour la bouche et les mains.
Enfants, ayez soin de votre mère tous les jours de sa vie, car vous devez vous souvenir combien elle a souffert, et à quels dangers elle a été exposée pour vous, lorsqu'elle vous portait dans son sein.
Le mariage est un état de soins et de sacrifices, et sans le sentiment qui rend tout aisé, il est bien difficile d'en remplir les devoirs, même avec de la vertu. Les obligations sont sans doute réciproques, mais les femmes sont appelées à des soins particuliers. La nature, en leur donnant plus de grâces, plus d'aménité, plus de délicatesse, nous apprend que c'est à elles à mettre les attentions, les complaisances, les égards dans cette union, d'où, elles retirent en échange les fruits de la protection et des travaux plus importants des hommes.
La nature a commencé l'homme, c'est le soin et l'étude qui le forment et l'achèvent.
Quelques soins que nous nous donnions pour rendre notre vie heureuse, pourrons-nous jamais nous garantir de cette foule de maux qui nous assiègent et nous persécutent depuis le moment de notre naissance jusqu'à celui qui nous mène au tombeau ? À combien de maladies ne sommes-nous pas sujets ! Combien d'excessives douleurs ne nous font-elles pas souffrir dans toutes les parties du corps ! Que de revers n'avons-nous pas à craindre de la fortune ! Que d'infidélités et de trahisons n'avons-nous pas à essuyer de nos amis ! Que de complots et de cabales de nos ennemis ! Enfin que de méchancetés et de noirceurs de tous ceux qui nous environnent !
Les soins qu'on se donne pour ne pas souffrir causent plus de tourments qu'on n'en aurait à supporter les souffrances.
Ne te borne pas à donner de l'argent aux plus démunis, sache aussi donner tes soins, ton temps, tes lumières, ces affections consolatrices qui souvent sont plus précieuses que des secours.
L'homme qui s'étudie avec soin aisément se passe de médecin.
Le désir et le soin de plaire sont le propre des âmes belles et tendres en qui le besoin d'être aimées naquit un jour du besoin d'aimer.
Il n'est conseil ni soins qui puissent prévaloir contre la fatalité.
Vis-à-vis de l'être tant aimé, l'être tant chéri, il faut être aux petits soins.
La mort à l'âge de la cinquantaine, et dans la solitude, c'est peut-être encore moins rude que le déclin au milieu d'un monde ironique et de soins rendus à regret.
Quand je pense à tout ce que j'ai en surplus, l'aisance, les amitiés, les souvenirs, les soins, et que je mesure mon dégoût de la vie, je sens croître ma pitié pour tous ceux qui souffrent, pour les délaissés, les nécessiteux, les mutilés.
Le soin de chaque jour à chaque jour suffit.
Les petits soins, les empressements, sont les marques véritables des véritables amants.
La vie d'un homme, même s'il a pris soin de sa santé, dure moins qu'un siècle.
Certains prennent plus de soin à cacher leur sagesse que leur folie.
Le premier soin de l'homme est celui de sa propre conservation ; il aime à se sentir vivre, et fait tout effort pour rendre son existence agréable.
Si l'enfant s'attache à ceux qui s'occupent de lui, ce n'est qu'en raison des soins qu'il en reçoit.
Les soins qu'on prend pour soi-même sont toujours profitables.
Le défaut de soin fait plus de tort que le défaut de savoir.
Chaque cœur a son soin particulier?