De nos jours, rien n'est plus dangereux que le travail. Il faut être un fainéant pour jouir des avantages de la société actuelle et vivre à peu près gratis. Si j'avais pour deux sous d'intelligence, ou le sens de mon intérêt, j'arriverais à être malade cinq mois par an, je me ferais mettre au chômage judicieusement ; avec les relations que j'ai, je réussirais bien à me faire attribuer quelque petite pension d'invalidité pour avoir raté une marche en montant mon escalier, pension dont le pourcentage grossirait avec le temps, comme de bien entendu !
Le travail en lui-même est salutaire pour le corps et pour l'âme, il est pour l'un et pour l'autre la meilleure discipline. Loin de dégrader celui qui s'y livre, il le grandit et l'honore.
Les paresseux essaient en vain de travailler, moi j'essaie en vain de ne rien faire.
Le travail c'est la santé, ne rien faire, c'est la conserver.
La compagne des mœurs, la médiocrité, la paix et le travail conservent la santé.
Jamais il n'est trop tôt ou trop tard pour travailler à la santé de l'âme.
Pas de travail, pas de santé spirituelle !
Le travail et la tempérance sont favorables à la santé.
Le travail de l'esprit repose le cœur ; le travail du corps même n'y est pas inutile, et la peine qu'on se donne prend la place des peines qu'on éprouve.
Le travail et l'exercice sont pour le corps ce que l'étude et l'application sont pour l'âme ; ils le fortifient et le rendent capable des plus grandes choses. Il faut que ceux qui se livrent à une nonchalance volontaire et à une espèce d'assoupissement d'eux-mêmes soient bien peu éclairés sur leur propre intérêt pour ne pas voir que c'est de là que naissent la plupart de leurs maux.
Les gens qui ne veulent rien faire de rien, n'avancent rien, et ne sont bons à rien.
La tempérance et le travail sont les deux vrais médecins de l'homme : Le travail aiguise son appétit, et la tempérance l'empêche d'en abuser.
Tu dois travailler : le travail est ta santé.
L'art de se reposer fait partie de l'art de travailler.
Un organisme humain ne peut vivre sans des alternances de travail et de repos.
Tout travail est noblesse que l'on accroche à une étoile.
Pour bien travailler, il faut se bien porter.
Le travail, c'est la santé... mais à quoi sert alors la médecine du travail ?
Le travail modéré contribue à la santé du corps et à celle de l'âme.
La santé, la vigueur d'esprit, la paix du cœur, sont les fruits touchants du travail.
Les vrais trésors : la paix, le travail, la santé.
Mieux vaut, sans vous déplaire, passer son temps à ne rien faire, qu'à suer pour faire des riens.
Le repos est l'assaisonnement du travail.