La Légende des siècles, de Victor Hugo.
1 - En quelle année fut publiée cette oeuvre ?
La Légende des siècles est un recueil de poésie de
Victor Hugo conçu comme une œuvre monumentale destinée à dépeindre l'histoire et l'évolution de l'Humanité. Écrits par intermittence entre 1855 et 1876, les poèmes sont publiés en trois séries : en 1859, en 1877 et en 1883. Dans la préface de la première série de
La Légende des siècles publiée en 1859,
Victor Hugo a écrit :
Les personnes qui voudront bien jeter un coup d'œil sur ce livre ne s'en feraient pas une idée précise si elles y voyaient autre chose qu'un commencement. Ce livre est-il donc un fragment ? Non. Il existe à part. Il a, comme on le verra, son exposition, son milieu et sa fin. Mais, en même temps, il est, pour ainsi dire, la première page d’un autre livre. Un commencement peut-il être un tout ? Sans doute. Un péristyle est un édifice. L’arbre, commencement de la forêt, est un tout. Il appartient à la vie isolée, par la racine, et à la vie en commun, par la sève. À lui seul, il ne prouve que l'arbre, mais il annonce la forêt. (
Source : Wikipédia )
2 - Les 28 citations et pensées de Victor Hugo :
L'amour est une mer dont la femme est la rive.
Victor Hugo - La légende des siècles, Le Groupe des Idylles, VII (1877) On a beau tout rêver, tu dépasses le rêve.
Victor Hugo - La légende des siècles, L'amour, IV, En Grèce (1883) La femme est de tout le divin complément.
Victor Hugo - La légende des siècles, L'amour, IV, En Grèce (1883) Mourir n'est pas finir, c'est le matin suprême.
Victor Hugo - La légende des siècles, LV, Les grandes lois. Paix aux cœurs douloureux et joie aux fronts moroses !
Victor Hugo - La légende des siècles, L'amour, III, Il faut boire (1883) L'avenir, tel que les cieux le font, c'est l'élargissement dans l'infini sans fond.
Victor Hugo - La légende des siècles, VIII, Le Satyre. Moi, je donne mon cœur, mais ma peau, je la vends.
Victor Hugo - La légende des siècles, Le cimetière d'Eylau (1874) Qu'est-ce que ton baiser ? Un lèchement de flamme.
Victor Hugo - La légende des siècles, L'épopée du ver (1877) Le fourbe est transparent, tout regard le pénètre ; la trahison devient la chair même du traître.
Victor Hugo - La légende des siècles, Les quatre jours d'Elciis (1883) La fraude est vilaine et donne un profit nul ; mentir ou se tuer, c'est le même calcul.
Victor Hugo - La légende des siècles, Les quatre jours d'Elciis (1883) De tout bien mal acquis qu'on le rende !
Victor Hugo - La légende des siècles, Les quatre jours d'Elciis (1883) L'immobilité ne sied point au panache.
Victor Hugo - La légende des siècles, Les quatre jours d'Elciis (1883) Dès qu'on est malhonnête on est rongé tout vif par son mauvais renom.
Victor Hugo - La légende des siècles, Les quatre jours d'Elciis (1883) Quand on est jeune, on a des matins triomphants.
Victor Hugo - La légende des siècles, Booz endormi (1859) La moitié d'un ami, c'est la moitié d'un traître.
Victor Hugo - La légende des siècles, VII, Le Cid exilé (1877) L'homme est l'outil, Dieu seul est l'ouvrier de l'œuvre.
Victor Hugo - La légende des siècles, LV, Les grandes lois. Quand donc lèvera-t-on l'écrou du triste amour !
Victor Hugo - La légende des siècles, L'amour, I, Quoi ! le libérateur (1883) L'homme cherche, la vierge attend, la femme attire.
Victor Hugo - La légende des siècles, L'amour, III, Il faut boire (1883) Un poète est un monde enfermé dans un homme.
Victor Hugo - La légende des siècles, XLVII, Un poète. J'aime la vie, et vivre est la chose certaine, mais rien ne sait mourir comme les bons vivants.
Victor Hugo - La légende des siècles, Le cimetière d'Eylau (1874) Toutes nos passions reflètent les étoiles.
Victor Hugo - La légende des siècles, Le Groupe des Idylles, VII (1877) La prière est la sœur tremblante de l'amour ; qui prie adore ; aimer, c'est prier une femme.
Victor Hugo - La légende des siècles, L'amour, IV, En Grèce (1883) Aimer, c'est savourer aux bras d'un être cher, la quantité de ciel que Dieu mit dans la chair.
Victor Hugo - La légende des siècles, Le Groupe des Idylles, XXII (1877) Au-dessus de tout homme, et quoi qu'on puisse faire, quelqu'un est toujours Dieu, quelqu'un est toujours père.
Victor Hugo - La légende des siècles, XV, 3, La Paternité. Nul n'ira jusqu'au fond du rire d'un enfant, c'est l'amour, l'innocence auguste.
Victor Hugo - La légende des siècles, XXIII, 2, Les Petits. Ce suicide affreux, le célibat.
Victor Hugo - La légende des siècles, XXI, 10, Les enterrements civils (1877) Aimer, c'est le moyen de Dieu pour apaiser.
Victor Hugo - La légende des siècles, L'amour, IV, En Grèce (1883) L'amour d'un fils est sans fond, la douleur d'un père est insondable.
Victor Hugo - La légende des siècles, XV, 3, La Paternité.
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