Les plus beaux Je t'aime en poèmes.

Les poèmes pour lui dire je t'aime :

Les poèmes pour lui écrire je t'aime Cette rubrique vous propose 8 poèmes pour lui écrire je t'aime, mais consultez aussi nos mots d'amour extraits d'anciennes lettres d'auteurs célèbres. Par exemple, cet extrait d'une lettre de Victor Hugo écrite à Adèle Foucher le 24 décembre 1821 : Ma chérie, que ne peux-tu voir mon cœur à nu pour y retrouver ta pensée qui domine sans cesse toutes mes autres pensées. Oh ! combien je t'aime et en quelles expressions de feu te l'exprimer ! Je veux te dire mille fois que je t'aime, je veux que tu me le dises mille fois ! Voilà tout mon bonheur, voilà toute ma joie. Oui, mon adorée, chacune des grâces de ta figure révèle une des perfections de ton âme. Tu es pour moi un ange, une fée, une muse, un être qui n'a d'humain que ce qu'il en faut pour rester à la portée d'un être terrestre et matériel tel que celui dont tu daignes partager le sort et la vie. Je t'aime mon adorée.

1 - La liste des poèmes :

2 — Les poèmes et sonnets pour lui écrire je t'aime :

Poème : Si tu savais combien je t'aime.

Recueil : Les chansons d'amour (1973)
Si tu savais combien je t'aime
Tu comprendrais que déjà,
Sans toi tous les jours sont blêmes,
Sans toi il n'est plus de joie.

Si tu savais ce qu'est ma peine
Lorsque tu es loin de moi,
Et l'amour qui se déchaîne
Rien que d'entendre ta voix.

Tant de désirs me font rêver
Et ton sourire me laisse espérer,
Le grand amour la folle ivresse
De mourir au plaisir de tes caresses.

Regarde moi au fond des yeux
Ne vois-tu pas qu'ils sont malheureux,
Il suffirait que tu sois mienne
Quel bonheur en mon cœur quoi qu'il advienne.

Si tu savais combien je t'aime
Comme c'est bon d'être amoureux,
Car la vie n'est plus la même
Quand on peut la vivre à deux.

Christian Adam (1945-2014)

Poème : Je t'aime, et n'aime que toi.

Recueil : Poésie et amour (1835)
Je puis ouvrir mon âme à la voix de ton âme,
Je puis encore ici te décrire ma flamme,
Mais je veux entendre ta bienveillante voix,
Me dire tout bas : « Je t'aime, et n'aime que toi. »

Ô mon doux amour ! ô ma céleste idole !
Redis-moi donc encore cette douce parole,
Qui pour mon cœur épris a toujours tant d'appas :
Si tu m'aimes, redis-le moi que je n'en doute pas.

Vois-tu, ce joli mot « je t'aime » m'est si tendre,
Si charmant que de ta voix j'aime à l'entendre,
Avec tant d'harmonie il résonne en mon cœur.

Il y jette un rayon de si parfait bonheur,
Que l'entendre de ta voix, j'ai cru ouïr au ciel
La voix d'un séraphin si douce à l'Eternel !

Charles Potvin (1818-1902)

Poème : Ce qui dure.

Recueil : Les vaines tendresses (1875)
Le présent se fait vide et triste,
Ô mon amie, autour de nous ;
Combien peu de passé subsiste !
Et ceux qui restent changent tous.

Nous ne voyons plus sans envie
Les yeux de vingt ans resplendir,
Et combien sont déjà sans vie
Des yeux qui nous ont vus grandir !

Que de jeunesse emporte l'heure,
Qui n'en rapporte jamais rien !
Pourtant quelque chose demeure :
Je t'aime avec mon cœur ancien,

Mon vrai cœur, celui qui s'attache
Et souffre depuis qu'il est né,
Mon cœur d'enfant, le cœur sans tache
Que ma mère m'avait donné ;

Ce cœur où plus rien ne pénètre,
D'où plus rien désormais ne sort ;
Je t'aime avec ce que mon être
A de plus fort contre la mort ;

Et, s'il peut braver la mort même,
Si le meilleur de l'homme est tel
Que rien n'en périsse, je t'aime
Avec ce que j'ai d'immortel.

René-François Sully Prudhomme (1839-1907)

Poème : Je t'aime d'un amour suprême.

Recueil : Poésie et amour (1835)
Nul ami ne restait fidèle à ma misère !
Mais toi, toi qui d'un seul mot consolant,
As chassé ma peine et mon chagrin brûlant,
Quand je te vis, j'ai cru au bonheur sur la terre !

Ta présence, ton appui, ta douce bienveillance,
C'est tout ce qu'implorait alors mon espérance ;
De t'avoir à mon côté, c'était assez pour moi,
Assez pour dissiper mes douleurs d'autrefois !

Ta voix qui me charme et m'enflamme le cœur,
Est mon seul trésor, mon seul bien, mon bonheur,
Vois-tu, c'est que je t'aime d'un amour suprême.

Et si je suis heureux quand tu me dis : Je t'aime,
C'est qu'aux mille plaisirs que la vie offre à la fois,
Je préfère un seul mot, un doux mot de ta voix.

Charles Potvin (1818-1902)

Poème : Je t'aime d'être faible.

Recueil : À l'heure des mains jointes (1906)
Je t'aime d'être faible et câline en mes bras
Et de chercher le sûr refuge de mes bras
Ainsi qu'un berceau tiède où tu reposeras.

Je t'aime d'être rousse et pareille à l'automne,
Frêle image de la Déesse de l'automne
Que le soleil couchant illumine et couronne.

Je t'aime d'être lente et de marcher sans bruit
Et de parler très bas et de haïr le bruit,
Comme l'on fait dans la présence de la nuit.

Et je t'aime surtout d'être pâle et mourante,
Et de gémir avec des sanglots de mourante,
Dans le cruel plaisir qui s'acharne et tourmente.

Je t'aime d'être, ô soeur des reines de jadis,
Exilée au milieu des splendeurs de jadis,
Plus blanche qu'un reflet de lune sur un lys...

Je t'aime de ne point t'émouvoir, lorsque blême
Et tremblante je ne puis cacher mon front blême,
Ô toi qui ne sauras jamais combien je t'aime !

Renée Vivien (1877-1909)

Poème : Le serment d'amour.

Recueil : Poésie et amour (1835)
Pour être aimé d'elle, pour allier mon âme,
Par un intime amour, à la vie d'une femme,
D'un ange au cœur pur, belle de sa candeur ;
Pour m'y livrer de corps, d'esprit et de cœur,

Pour me savoir aimé de l'ange que j'adore,
Pour l'adorer, le lui dire, et lui redire encore,
La protéger et la chérir, vivre de ses beaux yeux,
Y trouver un bonheur à faire envie aux cieux ;

Pour l'aimer et l'entendre, éperdue, enivrée,
Lui murmurer je t'aime, et la sentir vibrer,
La sentir palpitante entre mes bras tremblants ;
La voir tendre la lèvre à mes baisers brûlants ;

Je dirais à ce monde un volontaire adieu,
Pour cette volupté, je livrerais mon âme,
Sans hésiter, aux châtiments de flamme
Que réserve aux amants la justice de Dieu !

Charles Potvin (1818-1902)

Poème : Je t'aime d'un amour pur.

Recueil : Les poésies et sonnets (1876)
Ton visage, éclatant et frais comme un fruit mûr,
Ton air tendre et naïf, dont le charme ensorcèle
Par son étrangeté, tout en toi me révèle,
Belle et pudique enfant, combien ton cœur est sûr.

Quand je plonge mes yeux dans tes grands yeux d'azur,
Lacs transparents où brille une chaste étincelle,
Ma pauvre âme tressaille, émue, et je chancelle :
Je t'aime, ma belle, d'un amour inaltérable et pur.

D'un seul regard de toi dépend ma destinée ;
Toi seule peux la faire triste ou fortunée ;
Par toi je peux mourir, je peux vivre par toi :

Souris à ma douleur, ô jeune fille étrange !
Étends ton aile, étends ta blanche aile sur moi,
Ô ma beauté, ô ma déesse, ô mon bon ange !

Henri-Charles Read (1857-1876)

Poème : Je t'aime, jeune fille.

Recueil : Souvenirs et poésies (1865)
Je t'aime, jeune fille,
Car ton regard pétille ;
Ainsi que j'aime à voir
Sur les bois, sur la dune,
Le reflet de la lune,
L'été, par un doux soir.

Je t'aime, jeune fille,
Comme le bruit des eaux,
Ou le chant des oiseaux
Sous la verte charmille ;

Comme ces belles fleurs
Dans la prairie écloses,
Dont les vives couleurs
Sont sur tes lèvres roses.

Je t'aime, ô mon amour !
Comme j'aime l'aurore
Qui précède le jour ;
Je t'aime et je t'adore
Bien plus, bien plus encore !

Marie-Étienne-Charles Choiseul-Daillecourt (1834-1884)

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