La vengeance vieille de cent ans a encore ses dents de lait.
Mieux vaut revenir d'une guerre couvert de sang que sain et sauf comme un lâche.
Tout sommet a son chemin, même la plus haute montagne.
Tu peux tuer toutes les hirondelles, tu n'empêcheras pas le printemps de revenir.
L'expérience est une lanterne qui éclaire derrière soi.
Utilise le langage de chacun afin de mieux te faire comprendre.
Chacun doit assumer ses propres fardeaux, et ses propres responsabilités.
Mieux vaut mourir que fuir.
Pour une colonie de fourmis, la rosée est un déluge.
Plutôt que de rester assis à ne rien faire, mieux vaut encore se promener à ne rien faire.
L'Afghanistan n'est que temps et poussière, les Afghans gardent le temps, et les étrangers prennent la poussière.
Qui toujours espère Dieu le perd.
Chacun connaît mieux sa propre maison.
Qui a des éléphants doit avoir de grandes portes.
L'amour ne pleure jamais comme pleure le sang.
Un arbre ne bouge pas sans vent.
Mieux vaut Kaboul sans or que Kaboul sans neige.
Juste aujourd'hui et injuste demain, ce n'est pas bonne manière de gouverner.
Fuyez vite, ou frappez vite.
Quand le poète se tait, le canon parle.
On regarde l'épée, on lance la flèche.
Si tu as, mange ; si tu n'as pas, meurs !
Je parle à la porte, mais c'est le mur qui m'écoute.
Laisse faire le menteur, et il fera du chacal un aigle.
À tas de blé, le rat s'y met.
Le mal de dents, il faut l'arracher.
L'homme à tout faire ne peut pas tout faire bien.
Les cinq doigts de la main sont frères, mais ils ne sont pas égaux.
Un pessimiste n'est qu'un optimiste qui n'a pas réussi.
Il n'y a pas d'autre arbitre que le poignard afghan.
Mieux vaut deux poux russes qu'une puce anglaise.
Le travail d'une femme vaut plus que le discours de cent hommes.
Si tu veux mourir, va à Kunduz.
La nuit est destinée au sommeil, le jour au repos, et l'âne au travail.
Le rire, c'est le sel de la vie ; sans le sel, la vie n'a pas de goût, comme dans la cuisine.