La fausse amitié te couvre de ses ailes, et te déchire du bec,
Un fumier a beau être couvert d'un riche tapis, l'odeur perce toujours.
La table est bien couverte quand elle est bien tapissée de livres.
Les riches couvrent leurs sottises avec de l'argent.
Le fumier couvert d'or reste toujours du fumier.
Si le char de la fortune roule bien la boue et l'envie couvrent les roues.
Le bonnet qui couvre la tête du fourbe, le manteau qu'il porte sur ses épaules, ses paroles et ses gestes, ses compliments, tout cela n'est que ruse et hypocrisie.
Un bon caractère joint à des traits désagréables vaut mieux que la beauté ; l'amabilité couvre les défauts du corps.
Qui couvre ses fautes ne prospérera pas ; qui les confesse et y renonce sera pardonné.
Le dépit du fou se connaît le même jour, mais l'homme bien avisé couvre son indignation.
Chauve avec argent, donnez-moi sa tête que je la couvre de baisers.
Qui couvre de bonne herbe la moitié de son champ fait trois récoltes sur le reste.
L'argent couvre les fautes des riches, et la terre celles des médecins.
Manteau couvre laid et beau.
Le comble du malheur pour un scélérat, c'est de couvrir ses parents de son infamie.
Un chapeau bordé ne couvre pas toujours bonne tête.
La fausse amitié te couvre de ses ailes, et te déchire du bec.
On couvre le puits quand l'enfant est tombé dedans.
Souvent la robe d'un moine couvre un méchant coquin.
La malice est double qui se couvre d'une feinte.
Jamais une bonne parole ne peut couvrir une mauvaise action.
La main suffit quelquefois pour couvrir la source d'un fleuve.
La tête est couverte d'un bonnet, et le derrière est découvert.
Celui qui entre dans le moulin se couvre de poussière.
Qui te couvre, te découvre.
La bonne réputation couvre toutes les fautes.
La honte couvre le maïs, et non celui qui le coupe.
Qui cache son infirmité a peine à recouvrer santé.