La paix vaut mieux que la guerre ! Tant que des négociations habiles peuvent assurer le succès d'une affaire, la douceur est préférable à l'emploi de la force ; quand on ne peut vaincre par les armes, c'est à la discussion à fermer les portes de la guerre.
Plutôt la guerre que le cou cassé.
Guerre et pitié ne s'accordent pas.
Qui n'est pas bon soldat n'est pas bon capitaine.
Tel voudrait être soldat à qui le soldat porte envie.
Qui a fait la guerre fasse la paix.
La guerre avec les infidèles, quand bien même avec des pertes.
La sagesse préfère une paix onéreuse à une guerre légitime.
La guerre est le festin de la mort.
Ne sait que vaut pain sur terre, qui n'a connu la guerre.
Toujours ne dure orage ni guerre.
La guerre est la fête des morts.
La mort du guerrier est glorieuse quand ses ennemis applaudissent à son courage.
Hommes font guerre, il est notoire, mais Dieu seul donne la victoire.
Il y a un temps pour tout, un temps de guerre et un temps de paix.
La guerre comme un flux agite et purifie.
La guerre ne répugne à aucune ruse.
Guerre aux tyrans, et paix aux chaumières.
Mieux vaut une bonne guerre qu'une mauvaise paix.
La guerre est pour l'homme ce que l'accouchement est pour la femme.
Paix trompeuse nuit plus que guerre ouverte.
De guerre mortelle fait-on bien paix.
Quand la guerre commence, l'enfer s'ouvre.
Une fausse paix est la source d'une nouvelle guerre.
À la guerre comme dans le monde, il faut de toutes sortes de gens : souvent celui qui n'a que des bras s'en sert avec plus d'habileté que celui qui combine plus lentement ses coups.
La guerre amène la pauvreté, et la pauvreté ramène la paix.
Qui lance une guerre en devient la poule (le premier tué).
Les chevaux de guerre naissent sur les frontières.
Mieux vaut revenir d'une guerre couvert de sang que sain et sauf comme un lâche.
Beaucoup reviennent de la guerre qui ne peuvent décrire la bataille.
La paix avec un gourdin dans la main, c'est la guerre.
En période de paix, il ne faut pas oublier les troubles.
La paix simulée nuit plus que la guerre ouverte.
Une vieille rancune engendre une jeune guerre.
La guerre est un jeu cruel qui ne se paie qu'avec le sang.
La guerre est un procès qui ruine ceux qui le gagnent.
À la guerre il périt plus de poltrons que de braves.
On ne fait la guerre que pour faire enfin la paix.
Les hommes font la guerre, et Dieu donne la victoire.
La guerre est préférable à une paix incertaine.
Guerre et pitié ne cheminent pas ensemble.
Qui prêche la guerre est le chapelain du diable.
La guerre a de belles fleurs, mais de mauvais fruits.
La paix acquiert, la guerre ruine.
Plus tôt en guerre, plus tôt en terre.
Les plus braves conseillent le moins la guerre.
Il est plus aisé de déclarer la guerre que de remporter une victoire.
Le diable agrandit son enfer au fur et à mesure des guerres.
Qui n'a pas éprouvé la guerre ne sait pas le prix de la paix.
Il faut se préparer longtemps à la guerre si l'on veut remporter une prompte victoire.
Qui n'aime pas la paix trouve assez de raisons pour faire la guerre.
La chasse, la guerre, la galanterie, pour un plaisir mille peines.
Cent ans bannière, cent ans civière.
Qui terre a, guerre a.
Évite les querelles avec les hommes doux et pacifiques, et si quelqu'un frappe à la porte de la paix, ne va pas lui déclarer la guerre.
Quand buffles et bœufs s'affrontent, mouches et moustiques meurent.