Il y a six vertus qui assurent à l'homme un bonheur dont il touche l'intérêt en ce monde et dont le capital lui est réservé pour le monde à venir. Ce sont : L'exercice de l'hospitalité, le soin des malades, la ferveur pendant la prière, la fréquentation des écoles, l'instruction qu'on fait donner à ses enfants et le devoir que l'on s'impose de juger son prochain avec indulgence !
Qui est trop indulgent pour ses enfants les gâte.
Toute cause est mauvaise qui a besoin d'indulgence.
L'indulgence affaiblit et perd la discipline ; trop de rigueur quelquefois la ruine.
L'indulgence fait grâce aux torts de la jeunesse.
À l'infidélité l'indulgence encourage ; on ne doit épargner ni le sexe ni l'âge.
Qui n'est pas indulgent est bien près d'être injuste.
Qu'un juge soit plutôt sévère qu'indulgent.
Sévérité pour soi, indulgence pour autrui.
Pour nous exciter à l'indulgence, pensons qu'il n'est personne de parfait.
Dieu est indulgent pour tous les vices, excepté pour la corruption des mœurs.
Celui qui juge son prochain avec indulgence sera à son tour jugé avec indulgence quand il apparaîtra devant le tribunal suprême.
Sois sévère pour toi et indulgent pour les autres, et tu seras l'ami de tout le monde.
Indulgence envers le loup s'appelle injustice envers le mouton.
Préfère des ennemis trop sévères à des amis trop indulgents.
Les plus sévères sont souvent ceux qui ont le plus besoin d'indulgence.
L'ami véritable cache les défauts de celui qu'il chérit, et les couvre du voile de l'indulgence.
Dans la vie l'homme a besoin de trois grands amis : Le courage, l'indulgence et la sagesse.
Moins on a d'indulgence pour soi, plus il est aisé d'en avoir pour les autres.
L'homme le plus indulgent pour lui a bien souvent le plus de sévérité pour les autres.
Un bon cœur penche vers la bonté et l'indulgence, un cœur étroit ne va pas au-delà de la patience et de la modération.
On ne peut être bon sans être indulgent.
L'aumône de l'esprit consiste en l'indulgence.