Celui qui marche à la droite de son maître n'est qu'un sot.
L'enfant qui sait marcher est un dieu pour l'enfant dans son berceau.
Marche au milieu de la foule, et jamais en tête ni à la queue : tu y serais trop remarqué.
Mange selon la hauteur de ton sac à provisions, marche selon la largueur de ton pas.
La vie de l'homme est un sentier qui mène à la mort : plus l'on marche, plus on s'approche du but.
Il est inné chez l'homme lâche de piétiner ce qui est par terre.
Au pays des boiteux, chacun pense qu'il marche droit.
Qui est en faute marche sur la braise.
À chaque pas selon la jambe.
Le premier pas hasardé mène bien loin.
On marche mieux quand on va moins vite.
Qui marche sur les roses peut avoir les pieds percés d'épines.
Qui marche devant force l'autre à le suivre.
Un enfant rampe jusqu'à ce qu'il soit capable de marcher.
Qui compte sur les souliers d'un mort court le risque de marcher longtemps nu-pieds.
On marche tant sur le ver de terre qu'à la fin il veut se défendre.
Les enfants petits marchent sur la robe de leur mère, grands ils marchent sur son cœur.
Marche droit, la vie est un isthme.
Qui a l'habitude de marcher, se fatigue s'il s'assoit.
Plutôt que s'asseoir, marcher ; plutôt que mourir, durer.
Qui marche devant engage les autres à le suivre.
L'homme sage voit clair ; l'homme fou marche dans les ténèbres.
Le cul-de-jatte qui ne peut marcher lui-même ne laisse aucun montrer le chemin à un autre.
La bienveillance se traine quand elle ne peut marcher.
Marche rapide, prompte fatigue.
Qui ne peut marcher, qu'il coure.
Marcher doucement et voir de loin, sont œuvre d'un homme fin.
À bon voyageur, bons pieds.
On ne marche pas deux fois sur les testicules d'un aveugle.
Pour pouvoir marcher, il faut se tenir debout.