Les proverbes offrir.

Fasse que la main de celui qui t'offre un présent ne le regrette jamais.

Un bienfait offert vaut mieux qu'un bienfait sollicité.

À tel saint, telle offrande.

À l'offrande qui a dévotion.

Marchandise offerte est à moitié donnée ou méprisée.

Il chante trop matin, il perdra son offrande.

À petit saint petite offrande.

Mal offert un bien, à qui il ne sert à rien.

Toute offre ne sied point à faire, à tous ni en toute affaire.

Qui ne fait offre recevoir, ne mérite pas rien avoir.

Qui fait offre de ce qu'il peut, malheur qui plus de lui veut.

Qui beaucoup offre et ne donne, il n'enrichit guère personne.

Quand on offre biens et services, ce n'est pas petit office.

Offre n'est point à refuser, sauf à se voir abuser.

Homme qui offre si librement, en beaucoup de choses il ment.

Faire offre partout de services, n'est pas toujours bon office.

D'offres, de service et d'honneur, ne manquent point qui a bonheur.

Assez offre qui ne refuse, ou qui ne cherche point d'excuse.

À offre de civilité, réponse de même qualité.

Fille qui offre sans qu'on demande, est perdue si elle n'amende.

Il fait offre sans rien épargner, qui en espère bien gagner.

Ne t'offre pas à tous venants, de crainte de mauvais marchands.

Trop offrir sa marchandise prouve qu'elle n'est de vente facile.

Le rire que tu offres aux autres te sera rendu au centuple.

Dieu considère comme grande la petite offrande du pauvre.

À moins qu’on ne te les demande, n'offre jamais selle ni conseil.

Qui n'offre rien du peu qu'il a, n'offrira rien du trop qu'il aura.

Demander n'est pas vilenie, mais offrir c'est courtoisie.

Belles offres font perdre bons procès.

Offrir avec grâce ce dont on a besoin, c'est donner deux fois.

Qui offre un coussin, trouvera un matelas.

Qui veut offrir, offre sans soupir.

Offrir l'amitié à qui veut l'amour, c'est donner du pain à qui meurt de soif.

Offre-moi la fenêtre, je t'offrirai la porte.

Deux choses que les parents doivent offrir à leurs enfants : les racines et les ailes.

Offre ne vaut rien qui à bourse ne vient.